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Retour vers la demeure des haltes
Pour
la demeure du dix-septième jour qui succède à la nuit
au
deuxième mois de la décade :
Je chante Héraklès
[ Cœur de Lion ]
le
fils de Zeus
qu'à enfanté Alcmène
la
meilleur de toute celle qui vivent sur terre
dans Thèbes au
milieu des cortèges
Elle avait fait l'amour avec Zeus
[ sous de sombres nuées ]
Autrefois
il errait
sur une terre sans limite
et sur la mer
suivant les ordres du prince Eurysthée
Il
fit beaucoup d'exploits
et subit de nombreuses épreuves
Maintenant
il vit heureux
dans le beau palais de l'Olympe enneigé
avec
Hébé
qui a de belles chevilles
Réjouis-toi fils de Zeus
Donne-moi
la vaillance et la richesse
prince [ de ce monde ]
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Hymne homérique pour Héraklès
et pour Alcmène
qui ne comprend que
neuf vers
(H XV)
●
Les
douze épreuves d'Héraklès
qui donnent des limites à la
Terre
dans ce paysage homérique
sont celles des quatorze runes
du futhark le plus ancien
compte-tenu des permutations qu'on
observe
pour la dernière (14) avec celle qui la précède (13).
De
même que les vingt-quatre runes du futhark ancien
sont celles des
vingt-deux lettres hébraïques
compte-tenu des permutations qu'on
observe
pour la dernière (24) avec celle qui la précède (23).
On
n'y retrouve pas l'indice ultime (33)
qui accompagne les trente-deux
runes du nouveau futhark
et qui est aussi celui des hymnes
homériques.
Ni
les « ættir » qui
les rassemblent par groupe de huit
au gré des âges et selon le
nombre des saisons :
« 8 < 16 < 24 < 32 »
Les
seize runes du futhark le plus récent ne seraient donc qu'un
archaïsme à posteriori
toute la progression s'inscrivant dans les douze maisons synodiques :
« (12 + 2) < (22 + 2) < (32 + 1) »
Rappelons
que le zéro marque la décade et non une quantité de rien
comme origine
où la paire comme limite se résorberait dans son
unité.
Tandis
que l'indice ultime du nouveau futhark serait toujours une paire
celle
des Dioscures pour les hymnes homériques
et quelque soit leur
nombre :
« (16 + 1) < (32 + 1)
Le
passage de l'un vers l'autre ne peut se concevoir ici
qu'à partir
d'un stade intermédiaire théorisé par le futhark ancien
et dont
les Luminaires vers la fin des hymnes marquent encore l'étape :
« 30 + 2 + 1 »
Ainsi est résolue l'énigme de Zohra :
« A L B »
« 1 + 30 + 2 »
« 33 »