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Retour vers la demeure des haltes
Pour
la demeure du vingt-septième jour qui succède à la nuit
au
huitième mois de la décade :
Nous venons d'évoquer les « Mu'awwithathân » pour établir un parallèle avec les sourates « al-Muzzammil » (73) et « al-Muddathir » (74) en rapport avec les sections de la Prophétie des papes distribuées autour de la devise pontificale de Sixte Quint (73) :
« 73 »
▼
« 72 »
◄ « Axis in medietate signi »
► « 40 »
▼
1585
◄ X
► 1590
▼
1143
◄ 1/4 + « 444 » ◄
1587 ► « 444 » + 1/4 ► 2032
▼
« 888 »
- « X » est l'instant du Solstice de décembre en 1587
- « 112 » (72 + 40) est une référence vétérotestamentaire à l'héritage de Seth
- « 888 » est une référence au Saint Nom de Jésus dans les trois « ættir » runiques
Les « Mu'awwithathân » (113) et (114) apparaissent ici comme un redoublement de la devise pontificale du pape émérite (113) avec la venue d'un Juge redoutable.
Et ce redoublement des sourates « al-Falaq » (113) et « an-Nâs » (114) apparaît dans la sourate « al-Ḥijr » (15) comme celui qui accompagne les sept versets de la première d'entre-elles (1) – cf. S 15 V 87 :
« Nous t'avons révélé les sept redoublés et le Coran Sublime. »
Rien n'indique que ce redoublement ne soit que la répétition des versets de la « Fâtiḥa » (1) si ce n'est pour leur redoublement à titre inaugural.
De même, le Coran Sublime qui préfigure ici le Noble Coran est celui qui apparaît au premier verset de la sourate « Qâf » (50) – cf. S 50 V 1 :
« Qâf. Par le Coran Sublime ! »
Où la lettre isolée est une représentation subtile du Cœur – « Qalb » – pour la Montagne polaire d'un Phœnix ponant identifiable à Sayyidina 'Isâ ibn Myriam.
Cette lettre apparaît aussi au deuxième verset de la sourate « ash-Shûrâ » (42) dans un ensemble de cinq lettres – cf. S 42 V 1 à 3 :
« Ḥâ – Mîm.
'Ayn – Sîn – Qâf.
C'est ainsi que Dieu [ « al-'Azîz – al-Ḥakîm » ] te fait des révélations ... »
La « Fâtiḥa » (1) et les « Mu'awwithathân » (113) et (114) sont les limites contingentes de ce Noble Coran que le Coran Sublime transcende.
Et dans les limites contingentes de ce Noble Coran que le Coran Sublime transcende, le « Lam Yakun » du « Taḥwid » de « l'Ikhlâṣ » (112) est l'Arbre de la limite entre ces deux réalités si tu es de ceux qui s'inclinent – cf. S 112 V 4 :
« ... wa lam yakun lahû kufuwan 'aḥad. »
C'est par rapport à la réalité polaire de la lettre « Qâf » (100) que « l'Ikhlâṣ » (112) est le Pôle – « Quṭb » (111) – de la « Fâtiḥa » (1) si tu es de ceux qui entendent la réalité subtile des lettres arabes : « Qâf » (100) + « Ṭâ » (9) + « Bâ » (2) pour « Quṭb ».
Raison pour laquelle nous l'avons qualifié dans cette audition de « Qutb Alif » pour faire entendre dans la langue des oiseaux la lieutenance de sa réalité califale. Et le Phœnix n'est-il pas le roi des oiseaux ?
C'est ici que le Cœur de Zohra la Blanche se fend car tu constateras que le mot qui désigne l'organe en arabe – « Qalb » (132) – reprend les lettres et les nombres du nom qui l'accompagne en latin : « Alif » (1) + « Lâm » (30) + « Bâ » (2) pour « Alba ».
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