...
Retour vers les demeures du Sabbat
Pour
la demeure de la dixième semaine sidérale
qui vient avec le
Sabbat :
●
Pour
les demeures du Sabbat
ajoute les vingt-huit demeures qui
correspondent aux jours de la treizième semaine
de chaque
saison
pour avoir le nombre (720) des demeures :
« 366 + 52 + 13 + 28 + 261 »
Sur
ce nombre, il nous en manque trente
puisque quatre d'entre-elles
ont été réunies deux par deux autour du Solstice d'hiver
et que
par ailleurs celles-ci étaient déjà reprises parmi les
premières
qui correspondent aux jours de l'année
bien qu'elles puissent faire l'objet d'un second
voyage
qui correspond alors a la dernière des treize
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Rûh min Huwa |
||
Jhésus |
▼ |
Maria |
Saint Michel Archange |
||
Sainte Catherine |
▼ |
Sainte Marguerite |
Jeanne de France |
||
Saint Louis |
▼ |
Charlemagne |
► 1430 – [ 600 ] – 2030 ◄ |
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Sainte Thérèse d'Alençon |
48° 25' 44'' |
Sainte Jeanne du Bois Chenu |
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« C'est à ce jubilé [ du Grand Pardon ] que Romée Isabeau, [ la ] mère de la Pucelle d'Orléans vint de Lorraine [ en 1429 ] prier [ Notre-Dame d'Anis ] pour sa fille qui guerroyait ...
« ... et qu'elle rencontra [ au Puy-en-Velay ] le frère Jean Pasquerel des Ermites de Saint-Augustin, le futur confesseur de Jeanne d'Arc ; ...
« ... lequel accompagna fidèlement l'héroïne jusqu'à la trahison de Compiègne. »
Cf. E. Brejon – Notre-Dame de Lourdes avant les Apparitions de 1858 – Un chapitre d'histoire tombé en oubli – Notre-Dame du Puy (1925)
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Ici
Le prince de Talmont
Premier Cavalier de l'Armée Catholique et Royale
mourut en héros et en martyr le 27 janvier 1793
pour la même cause que
Renée et Perrine Cottereau
Sœurs de
Jean Chouan
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L'enclos sacré auquel Hâfez fait référence est assurément le « trobar clus » de nos troubadours ; aussi sûrement que le pas de Naurouze qui sépare dans le Sud de la France le bassin méditerranéen du littoral océanique fait référence au Now Ruz iranien.
D'autant qu'il est question près du pas d'un ensemble de mégalithes qu'une catastrophe géologique aurait disloqué mais qui doivent se rassembler à la fin des temps.
Comment est-ce possible ? Nous ne pouvons guère qu'invoquer la discipline de l'arcane à laquelle se sont tenus les nobles voyageurs dont Christian Rosencreutz reste le dernier témoin légendaire.
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« Les différentes typologies qu'implique [ le « rend » iranien ] se cristallisent chez les grands génies qui ont enrichi l'histoire culturelle de l'Iran : ...
« ... que ce soit la tradition des mages dans l'Iran préislamique [ de Ferdowsî, ] ...
« ... la sage modération de l'éthique de Sa'dî [ qui caractérise les « ahl al-Adab », ] ...
« ... la lucidité stellaire d'un Omar Khayyâm [ à l'ivresse quelque peu eucharistique, ] ...
« ... l'exaltation mystique d'un Jalâlu'd-Dîn Mowlâna Rûmî [ quelque peu christique, ] ...
« ... [ ou ] la divine folie d'un Hasan-e Sabbâh et d'un Bâb ...
[ ... qui identifie les Bayânis aux Gardiens de la Terre Sainte qu'une étymologie frelatée s'évertue à décrire comme des assassins et des consommateurs de haschisch. ]
Shayegan qualifie le « rend » iranien par l'éthique paradoxale qui en ferait l'attribut d'un libertin inspiré en l'opposant aux gens de la Convenance qui caractérisent le climat précédent de sa Poétique persane.
Attribution pour le moins malheureuse car on risque de n'en retenir que l'aspect « libertaire » avec la licence des mœurs du « libertin » sur un terrain moins politique où on risque d'éluder son caractère « inspiré ».
D'autant qu'on trouve encore chez les anarchistes des attitudes morales beaucoup plus proche de l'anonymat et de l'association des « A . A » que le Chrétien intérieur de Jean de Bernière cultivait déjà au Grand Siècle de la Rose-Croix.
Jacques Maritain est assurément mieux inspiré quand il parle des « titres de noblesse métaphysique » dont se parent les Amis de Dieu que la nomenclature du « tasawwuf » islamique qualifie néanmoins de « malâmatî » – les « hommes du blâme » de Sulamî.
Le Sheykh al-Akbar n'hésite pas à en faire une catégorie supérieure dans les ordres de la réalisation initiatique où le « maqâm » de la Proximité qui jouit d'une vision prophétique l'emporte sur celui de l'Imitation conforme des « ahl al-Adab ».
« Cette opposition [ entre les deux derniers climats de la Poétique persane ] est susceptible d'être appliqué à des niveaux fort variés : ...
« ... sur le plan visuel de la science du regard, elle sera la cosmo-vision du sage s'opposant à l'auto-vision du revendicateur [ mondain ] ; ...
« ... sur le plan dialectique de l'amour, elle sera la lutte entre la folie de l'amour et la prudence de la raison bornée [ par la courtoisie ] ; ...
« ... sur le plan éthique, elle sera l'antagonisme entre la bonne renommée du prédicateur et l'inconduite scandaleuse du libertin inspiré [ par un esprit libertaire ] ; ...
« ... sur le plan religieux, elle sera la lutte qui oppose la voie initiatique et ésotérique à l'exotérisme sclérosé des littéralistes et des docteurs de la Loi. »
Cf. Daryush Shayegan – L'âme poétique persane – Hâfez ou la mise en suspens du temps entre « azal » et « abad » – L'éthique paradoxale du libertin inspiré (2017)
Rien n'est moins sûr que cette opposition où les opposants ne sont pas toujours bien identifié : nous tenons la sagesse, la courtoisie et la spiritualité comme les maîtres d'un jeu qui transcende les mondanités avec lesquelles elles composent.
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