mardi 28 janvier 2025

Le Brahâtmâ

...

Retour vers la demeure des haltes

Pour la demeure du dix-septième jour qui succède à la nuit
au deuxième mois de la décade :

Je chante Héraklès

[ Cœur de Lion ]

le fils de Zeus
qu'à enfanté Alcmène

la meilleur de toute celle qui vivent sur terre
dans Thèbes au milieu des cortèges

Elle avait fait l'amour avec Zeus

[ sous de sombres nuées ]

Autrefois il errait
sur une terre sans limite
et sur la mer

suivant les ordres du prince Eurysthée

Il fit beaucoup d'exploits
et subit de nombreuses épreuves

Maintenant il vit heureux
dans le beau palais de l'Olympe enneigé
avec Hébé
qui a de belles chevilles

Réjouis-toi fils de Zeus

Donne-moi la vaillance et la richesse
prince [ de ce monde ]

Hymne homérique (XV) pour Héraklès
qui ne comprend que neuf vers

Les douze épreuves d'Héraklès
qui donnent des limites à la Terre
dans ce paysage homérique
sont celles des quatorze runes du futhark le plus ancien
compte-tenu des permutations qu'on observe
pour la dernière (14) avec celle qui la précède (13).

De même que les vingt-quatre runes du futhark ancien
sont celles des vingt-deux lettres hébraïques
compte-tenu des permutations qu'on observe
pour la dernière (24) avec celle qui la précède (23).

On n'y retrouve pas l'indice ultime (33)
qui accompagne les trente-deux runes du nouveau futhark
et qui est aussi celui des hymnes homériques
ni les « ættir » qui les rassemblent par groupe de huit
au gré des âges et selon le nombre des saisons.

« 8 < 16 < 24 < 32 »

Les seize runes du futhark le plus récent ne seraient donc qu'un archaïsme à posteriori
toute la progression s'inscrivant dans les douze maisons synodiques.

« (12 + 2) < (22 + 2) < (32 + 1) »

Rappelons que le zéro marque la décade et non une quantité de rien comme origine
où la paire comme limite se résorbe dans l'unité
tandis que l'indice ultime du nouveau futhark serait toujours une paire :
celle des Dioscures pour les hymnes homériques
et quelque soit leur nombre.

« (16 + 1) < (32 + 1)

Le passage de l'un vers l'autre ne peut se concevoir ici
qu'à partir d'un stade intermédiaire théorisé par le futhark ancien
et dont les Luminaires à la fin des hymnes marquent encore l'étape.

« 30 + 2 + 1 »

Ici fut résolue l'énigme de Zohra :

« A L B »

« 1 + 30 + 2 »

« 33 »

Les quatre piliers de la Synarchie de Saint-Yves d'Alveydre :

RAM

MOÏSE

ORPHÉE

JÉSUS

Le fondateur de l'Agarttha :

KRISHNA

La Triade du troisième pilier :

ORPHÉE

NUMA

PYTHAGORE

Le Tripode ramide :

RA-IAS-SOM

TA-LE-ARI

SCHAR-RAFF

Les trois conseils du « KAALDRY » [ l'Assemblée générale ] présidée par le « THAS-ILD-AR » [ le père des Anciens du Bélier ] correspondent à la Vie intellectuelle, morale et économique de l'Aldée [ la Commune rurale ] :

- Le premier conseil a pour délégué le « RA-IAS-SOM » : Autorité spirituelle

- Le deuxième conseil a pour délégué le « TA-LE-ARI » : Pouvoir temporel

- Le troisième conseil a pour délégué le « SCHAR-RAFF » : Affaire économique

C'est au niveau des Assemblées générales qu'interviennent les « PANDAVAN » [ Savants ] qu'on retrouve à la base des « 380 » dignitaires de l'Agarttha (365 + 12 + 3) dont la hiérarchie permet de connaître le nombre des cinq mille « KAALDRY ».

Le Triangle sommital de la hiérarchie :

BRAHATMA

MAHATMA

MAHANGA

« ... quel est [ le ] but de l'Humanité ?

« Il est aussi pratique que grandiose et c'est parce qu'il est simple qu'il est divinement et humainement vrai.

« Comme tout individu visible ou invisible, tout être collectif a sa loi et cette loi est trinitaire, toute loi étant l'expression d'un rapport entre deux termes.

« Gouvernants ou gouvernés d'Europe, conquérants ou conquis d'Asie, vous avez même intérêt au retour de l'Humanité à cette loi sociale du Règne de Dieu qui n'est autre que le sien propre dans lequel est compris le vôtre.

« Non ! L'égoïsme n'est pas vrai – que ce soit celui d'un individu ou d'un peuple, d'une race ou d'un continent tout entier.

« La France a senti cela en 1789 ; les plus généreux de ses penseurs l'ont compris mais les politiciens sectaires et violents ont fait banqueroute à son bon vouloir qu'éclairait justement le sentiment de l'Universalité.

« Liberté – Égalité – Fraternités : cette grande formule ramide, abramide [ et ] chrétienne exprimée dans le Télémaque de Fénélon (1699) était savante et religieuse autant que sociale si l'on s'était plus soucié de la comprendre et de la développer ...

« ... que de la fausser en l'exploitant politiquement.

« Il n'y a de liberté que dans l'espace illimité et l'espace sans limite de l'esprit humain n'est autre que l'Esprit de Dieu.

« Il n'y a d'égalité que dans une même loi d'harmonie et cette loi d'harmonie embrasse la constitution du corps social tout entier.

« Il n'y a de fraternité possible que par la liberté et l'égalité ainsi comprise.

« Mais tout cela est précisément le contraire de l'Anarchie mutuelle des gouvernements politiques et de l'égoïste brutalité qui président non seulement aux rapports des peuples chrétiens entre-eux ...

« ... mais à leur régime colonial vis-à-vis des autres continents et des autres communions de croyants. »

« Mission de l'Inde en Europe. Mission de l'Europe en Asie. La question du Mahatma et sa solution. Au Souverain Pontife qui porte la tiare au sept couronnes, [ le ] Brahatma actuel de l'antique Paradésa métropolitaine du Cycle de l'Agneau et du Bélier. » (1886)

Cf. Yves-Fred Boisset – Les Clés Traditionnelles et Synarchiques de l'Archéomètre de Saint-Yves d'Alveydre – Les Sources de l'Archéomètre – La Synarchie. Schéma directeur de l’État social (1976)

Le Souverain Pontife en Asie ne pouvait être que le Bogdo Khan sur le Siège pontifical d'Urga en Mongolie. Cette Mission ne fut publiée qu'à titre posthume en 1911 par les Amis de Saint-Yves.

    

     

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