samedi 6 septembre 2025

La triade occidentale

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Retour vers la demeure des lettres

Pour la demeure de la première sphère
parmi les sept sphères célestes de la première lettre :

« Alif »

Retour vers le val d'Or où dort le Serpent vert

Les douze sceaux et les cinq triades du kâli yuga

Triade
pythagorique

Triade
chrétienne

Triade
orientale

Triade
akbarienne

Triade
ammadienne

Pythagore

Auguste

Jésus

Nâgârjuna

'Isâ

Grégoire

Colomban

Padmasambhava

Muammad

François

Nichiren

Muḥyî'd-Dîn

Aḥmad

« Le nombre douze qui est issu [ du nombre onze quand il est « le nombre de la spiritualité pure et de l'ésotérisme » ] symbolise l'action dans le monde et le sacrifie. »

« Le douze est une émanation [ arithmosophique ] du onze. »

Amadou Hampâté Bâ
Vie et enseignement de Tierno Bokar
Le Sage de Bandiagara
(1980)

Vajradhara

Shakyamuni

Avalokiteshvara

Mañjushri

Amitâbha

Vaïrocana

Samantabhadra

Nâgârjuna

Padmasambhava

Nichiren

« Dans la splendeur de mille rayons de lumière fusant du cœur d'Amitabha
Tu pris naissance au sommet d'un lotus du lac de Sindhu
Puis – second bouddha – tu parvins au Pays des neiges
Guru Padmakara – Nè du Lotus – accorde-nous ta protection en tout temps ! »

2006 / 2133 pour l'année du Chien de feu

Dans cet hommage de Kyabjé Trulshik Rinpoché au Dalaï-Lama, Padmasambhava – le deuxième bodhisattva du Nirmâṇakâya qualifié ici de second bouddha par le canon Nyingmapa – apparaît comme le médiateur entre Siddhartha et Tenzin Gyatso.

Mais c'est dans le cœur du Dhyâni Bouddha Amitâbha que ce médiateur a « écarté [ le voile ] du Sambhogakâya » pour apparaître comme le protecteur du Nirmâṇakâya dans la « robe safran » du moine qui caractérise son caractère pontifical.

Or si le Dhyâni Bouddha Amitâbha apparaît sous la blancheur de l'aube comme une condensation de la Compassion du Bouddha dont Avalokiteshvara est l'émanation, la robe safran dont se pare le moine est celle de la Sagesse dont Mañjushri est l'expression.

Pythagore

Zoroastre

Shakyamuni

Lao-Tseu

[ Amitâbha ]

Auguste

Jésus

Nâgârjuna

Grégoire

Colomban

Muḥammad

Padmasambhava

Bodhidharma

François

Muḥyi'd-Dîn

Nichiren

Aḥmad

Comme pour la triade orientale quand on introduit l'échéance intermédiaire du Dhyani Bouddha Amitâbha, les triades akbarienne et aḥmadienne ne sont que les étapes d'un déplacement dans le temps de la triade occidentale islamo-chrétienne.

Il est donc possible de supprimer l'ubiquité des trois sceaux de la triade akbarienne en supprimant l'étape intermédiaire de leurs deux extrêmes qui caractérisent une triade spécifiquement chrétienne et une triade strictement muḥammadienne.

Mais la complexité des quatre domaines qui caractérisent la décade orientale autour du Sceau des prophètes nous amène à conserver une cinquième triade qui nous apparaît alors comme la possibilité d'une triade extrême-orientale.

Cette nouvelle triade introduit ici un dernier personnage – Bodhidharma – que nous avons déjà évoqué en complétant la triade orientale autour de Nâgârjuna qui occupe dans le Nirmâṇakâya la place transcendante de Vajradhara.

Il faut toutefois rappeler que cette possibilité déroge aux principes de l'économie cyclique non seulement du point de vue des cohortes de l'octave occidentale (600) mais également pour le cycle du Lotus (500) où la similitude reste formelle.

Cette similitude n'est en effet que celle des générations qui séparent dans les chaînes de transmission Shakyamuni de Nâgârjuna et Nâgârjuna de Bodhidharma sans que leurs nombres (2 x 14) ne viennent coïncider avec leur réalité cosmique.

Ainsi en voulant supprimer l'ubiquité des sceaux qui en sont dotés dans la triade akbarienne, sommes-nous amené à en majorer l'ensemble de deux unités dont l'une – celle d'Amitâbha – reste une manifestation du Sambhogakâya.

Nous ne parlons pas d'une sixième triade mais de l'une des cinq qui n'est plus la même quand on passe de l'octave occidental à la décade orientale où l'ubiquité des sceaux est en quelque sorte assumée par la cinquième triade.

1 / (11 x 500) = 0,000 18 18 18 18 18 18 18 18 ...

365 + 1/4 - 1/100 + 1/500 + / - 1/5.500

365 + 0,25 - 0,01 + 0,002 + / - 0,000 18

365 < 365,25 > 365,24 < 365,242 < 365,242 18 > 365,241 82

Nous ouvrons la question qu'en à savoir s'il faut ôter où ajouter un jour au cycle du Maître des abeilles :

À l'ajout correspond le Triduum pascal qui caractérise la commémoration du Phœnix quand on lui ajoute un jour bissextile mais nous avons vu qu'il s'agit vraisemblablement d'un nombre de phases distribuées autour de ce jour.

Au retrait correspond une similitude avec les siècles par rapport auxquels le Phœnix ponant prend sa valeur positive tous les cinq cents ans et qui dans le cas du Maître des abeilles ferait alors exception une fois sur onze.

Wikipédia note 365,242 19 pour l'année tropique moyenne aux alentours de l'an 2000.

Ce qui indique un degré d'incertitude qui tend plutôt vers l'existence d'un jour « trissextile » supplémentaire une fois tous les 5.500 ans pour 365,242 18.

   

    

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