...
Retour vers la demeure des haltes
Pour
la demeure du trente-et-unième jour qui succède à la nuit
au
deuxième mois du Janus :
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Les
trois cohortes et les trois ættir des sept lettres du Chrisme
carolingien
pour les trois sceaux de la triade chrétienne :
X |
Khi |
600 |
Jésus |
P |
Rho |
100 |
Colomban |
T |
Tau |
300 |
François |
Y |
Upsilon |
400 |
800 / 2 |
A |
Alpha |
1 |
1 x 400 |
Ω |
Oméga |
800 |
2 x 400 |
S |
Digamma |
6 |
2 x 3 |
666 = 888 = 1.000 = 600 + 100 + 300 |
(600
x 3) + (60 x 3) + (6 x 3) = 1.800 + 180 + 18 = 1.998 - 1.992 = 6
(800 x 3) + (80 x 3) + (8 x 3) = 2.400 + 240 + 24 = 2.664 - 2.592 = 72 = 1°
72 x 360° = 25.920 ans = 4 / 10 de 64.800 unités
25.920 / 10 = 2.592 = (4 x 600) + 192
(3 x 600) + 192 = 1.992
Saint Colomban au centre de la Ménorah :
« 606 »
Le Khi représente la Croix de Saint André.
Le Rho représente la Crosse de Saint Colomban.
Le Tau préfigure la Conformation de Saint François.
●
« Si maintenant nous prenons le nom de « Melki-Tsedeq » dans son sens le plus strict, les attributs propres du « Roi de Justice » sont la balance et l'épée et ces attributs sont aussi ceux de Mikaël considéré comme l'ange du Jugement.
[ « Dans l'iconographie chrétienne, l'ange Mikaël figure avec ces deux attributs dans les représentations du « Jugement dernier ». ]
« Ces deux emblèmes représentent respectivement dans l'ordre social les deux fonctions administrative et militaire qui appartiennent aux « Kshatriyas » et qui sont les deux éléments constitutifs du pouvoir royal [ sous l'autorité du « Mahânga ». ]
« Ce sont aussi – hiéroglyphiquement [ sic ] – les deux caractères formant la racine hébraïque et arabe « ḤâQ » qui signifie à la fois « Justice » et « Vérité », ...
[ « De même chez les anciens Égyptiens, « Mâ » ou « Maât » était en même temps la « Justice » et la « Vérité » ; ...
« ... on la voit figurée dans un des plateaux de la balance du Jugement [ dont l'épée et la lettre « M » (40) sont en quelque sorte le fléau ] tandis que dans l'autre est un vase – l'hiéroglyphe du Cœur – « ḤôQ » [ en hébreux ] signifiant [ le ] « Décret » – cf. Ps II 7. ]
« ... et [ ... ] chez divers peuples anciens [ cette racine ] à servi précisément à désigner la royauté.
[ « Ce mot « ḤâQ » à pour valeur numérique « 108 » qui est un des nombres cycliques fondamentaux.
[ « 108 » est le vingt-quatrième de « 2.592 » – le nombre des années du « Kali-Yuga » – et vingt-quatre est à la fois celui des « avataras » de Vishnou dans le Mahâbhârata et celui des prophètes coraniques dans le hadith aux cent vingt-quatre mille prophètes.
Pour le décompte des âges du « Manvantara » on en retient que dix.
Pour la valeur numérique de la lettre « Q » (100) en Grec on doit la déplacer sur la lettre « Rhô » dont le « P » (100) sert de fléau au Chrisme carolingien. ]
« [ En ] Inde, le chapelet shivaïte est composé de 108 grains et la signification première du chapelet symbolise la « chaîne des mondes », c'est-à-dire l'enchaînement causal des cycles ou des états d'existence. » ]
« ḤâQ » est la puissance qui fait régner la Justice, c'est-à-dire l'équilibre symbolisé par la balance tandis que la puissance elle-même l'est par l'épée et c'est bien là ce qui caractérise le rôle essentiel du pouvoir royal ; ...
[ « Cette signification pourrait se résumer dans cette formule : « la force au service du droit » si les modernes n'avaient par trop abusé de celle-ci en la prenant dans un sens tout extérieur. » ]
« ... et d'autre part c'est aussi dans l'ordre spirituel la force de la Vérité. [ « al-Ḥaqq » ]
« Il faut d'ailleurs ajouter qu'il existe aussi une forme adoucie de cette racine [ ḤQ ] obtenue par la substitution du signe de la force spirituelle à celui de la force matérielle ; ...
« ... et cette forme [ ḤK ] désigne proprement la Sagesse [ « ḤKM » ] de sorte qu'elle convient plus spécialement à l'autorité sacerdotale comme l'autre au pourvoir royal.
[ La forme nasale [ Q ] adoucit la forme guttural [ K ] du phonème. ]
Ceci est encore confirmé par le fait que les deux formes correspondantes se retrouvent avec des sens similaires pour la racine « KâN » qui dans des langues très diverses signifie « pouvoir » ou « puissance » et aussi « connaissance » : ...
[ Ce qui encore le cas pour l'injonction du « Fiat » coranique où le « KûN » d'Allâh préside à l'existence du Christ comme à celle d'Adam ; c'est-à-dire sans généalogie – cf. S 3 V 49. ]
« ... « KâN » est surtout le pouvoir spirituel ou intellectuel identique à la Sagesse [ celle du prêtre ] et « QâN » est le pouvoir matériel » [ celle du roi. ]
[ « Le mot « Khan » – titre donné aux chefs par les peuples de l'Asie centrale – se rattache peut-être à la même racine. » ]
Cf. René Guénon – Le Roi du Monde – « Melki-Tsedeq » (1958)
Nous ajoutons des signes diacritiques qui n'apparaissent pas dans le texte de 1958 en abrégeant les racines autour de leurs consonnes.
Ajoutons encore à celles-ci la racine « KBR » comme signe de la Grandeur – celle de l'Auguste – et la racine « KSR » comme signe de la Puissance – celle de l'Empereur – abrégé pour sa Sommité – celle du Chef – par la racine « SR » ou « TSR » :
« Sar » en perse ou « Ras » en amharique et « Tsar » en russe pour « Cæsar » en latin...
Son Altesse Royale sur le « Qâf » d'al-Ḥakîm pour le Coran Sublime.
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