mardi 16 juillet 2024

Le nombre de la conjonction

...

Retour vers la demeure des haltes

Pour la demeure du vingt-neuvième jour qui succède à la nuit
au deuxième mois de la décade :

Que ce soit pour le cercle des pierres bleues à Sthonehenge où pour le décompte des cohortes du kali yuga de Tarquin l'Ancien au Qutb al-Maktum, une quarantaine s’insère à la fin des temps après un solde de 192 ans et en-deçà du cercle de Sarsen.

Si les trente monolithes du cercle de Sarsen forment une représentation efficiente des mansions du mois synodique, le cercle des pierres bleues représente une arithmétique en rapport avec la décade dans sa réalité sidérale.

Dans l'hagiographie du Sceau des prophètes, la quarantaine représente son accès à la prophétie et pour la parousie du Christ, l'accès du Messie au maqâm muḥammadien d'une sainteté parfaite, absolue et universelle.

Les trois perfections adamique, christique et muḥammadienne du corps, de l'âme et de l'esprit ont été données dans cet ordre pour ne s'accomplir ensuite qu'à partir du sommet dans cet ordre parfait autour de sa conjonction cardiaque.

La symbolique du jeu de carte est une représentation exemplaire de cette correspondance entre le nombre de la conjonction et sa réalité sidérale :
   

( I )

13

13

13

13

Carreau

Trèfle

Cœur

Pique

4 x 4

3 x 3

2 x 2

2 x 5

16

9

4

10

cinquante-deux semaines de sept jours = 364 jours

39

   
L'unité sommitale n'est pas représentée mais apparaît comme la quintessence de la décade dans la symbolique des deux Jokers qui est celle des jours bissextiles ou des dioscures pour une année de 365 jours dans un cycle de cinq cents ans (+ 0,242).

Les quatre séries de treize cartes représentent les treize semaines des quatre saisons de l'année qui constituent un ensemble de cinquante-deux semaines sur 364 jours où elles sont comme les quatre saisons des treize mois sidéraux.

La treizième semaine des saisons est sabbatique comme le septième jour des semaines et se retrouve pour le treizième mois avec les quatre qui entourent le Solstice d'hiver parmi les quatre-vingt (52 + 28) du palindrome de la lettre « MîM » (40 + 40).

Les figures de ces quatre séries de treize cartes apparaissent comme les représentations graphiques d'une équations en rapport avec la décade où celle du Pique représente sa quintessence (1) comme essence des deux cinq qui les représentent.

« Ensuite les âmes se stabilisent sur la lettre « M » combinée avec le dessin d'un aigle, emblème de la Monarchie universelle. »

Cf. Colette de Callataÿ - van der Mersch – Le déchiffrement de Dante (I) – L'unité-trine – L'architecture propre à chaque cantique – La sphère du Paradis (1994)

La lettre « M » est la treizième dont la valeur est « 40 » symbolisée par la carte du roi.

« ... Ougarit était un grand centre administratif et possédait un vaste scriptorium admirablement organisé où l'on préparait l'argile et où l'on fabriquait des tablettes ; ...

« ... les centaines de textes qui en sont sortis prouvent que la ville abritait une communauté multilingue, que la pratique du commerce y avait favorisé l'ouverture des esprits.

« À Ougarit les comptables utilisaient un alphabet cunéiforme de vingt-six signes, invention qui allait permettre à l'écriture de se simplifier, de sortir enfin des temples et des mystères sacrés des pictogrammes pour donner la graphie cursive démotique ...

« ... adaptable aux besoins langagiers de chaque nation et dont l'usage allait se répandre et être à l'origine non seulement de la langue hébraïque de la Bible mais des différents alphabets du monde occidental contemporain. »

Cf. John Romer – La Bible et l'Histoire – Des Chroniques et des Rois – Le pays de Canaan (2006)

Nous théorisons ici vingt-deux consonnes, trois voyelles et une muette en doublant les hiératiques des pictogrammes idéographiques et les cursives démotiques ; ce qui n'en fait que quarante-huit contre cinquante avec les deux voyelles intermédiaires.

Notons cependant que l'une d'entre-elle – la muette – est accentuée de deux façons dite grave ou aiguë ; ce qui correspond dès lors qu'on ne double pas des voyelles comprises comme de simples signes diacritiques aux cinquante jours du premier Janus.

Ce premier Janus que nous attribuons à Romulus pour la tradition romaine est en correspondance avec les cinq cents années d'un Phénix dont les six mille lunaisons restent en accord avec les soixante jours du second Janus pour le calendrier Julien.

Le Phénix ponant des traditions orientales qui correspond avec le Cerf blanc aux cinq cors des traditions septentrionales est à présent en correspondance avec un Janus dont le nombre des jours est celui des lettres en rapport avec les mansions sidérales.

Le nombre de ces mansions lunaires (28) une fois doublé sur le même principe (56) correspond à un nombre de consonnes qui accompagnées de leurs trois voyelles correspondent avec leur muette aux soixante jours du nouveau Janus.

Ce nouveau Janus (50 < 60) ne modifie pas la nature du Phénix aux six mille lunaisons mais son rapport avec le nombre des cors du Cerf blanc (5) qui est un nombre de siècles et avec le Maître des abeilles un nombre de millénaires.

1865

    

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