vendredi 9 août 2024

Le cheval de Dieu

...

Retour vers la demeure des haltes

Pour la demeure du vingt-cinquième jour qui succède à la nuit
au septième mois de la décade :

IM / CH

90

SH

90

SM / CT

EP

5

EA

BL

90

SE

90

LM

IM      Imbolc        IM ► 89 ► BL       CH     Chandeleur du 33e jour du Janus

                             IM 52 ► EP       Équinoxe du Printemps (+ 0,242)

                             EP 36 ► BL

BL     Beltaine      BL 89 ► LM      L'arbre de Mai du troisième mois

                             BL 55 ► SE      Solstice d’Été

                             SE 33 ► LM

LM     Lammas     LM 89 ► SM     Le cinquième dimanche du sixième mois *

                             LM 59 ► EA     Équinoxe d'Automne

                             EA 29 ► SM

SM     Samain      SM 89 ► IM      CT     Catabase du neuvième mois

                             SM 59 ► SH     Solstice d'Hiver (+ 5)

                             SH 34 ► IM

* Le cinquième parmi les treize qui suivent le Solstice au sixième mois de la décade.

Toutes les valeurs que nous indiquons sont des intervalles entre deux repères qui ne s'inscrivent pas dans la représentation sidérale des semaines contrairement à celle des saisons induite par leur apocatastase – (112) et (252) ou (16) et (36).

Ce qui démontre que le transfert de nouvelles connaissances astronomiques depuis l'Orient vers les régions septentrionales du globe ne tient guère la route puisque ces repères s'inscrivent au contraire dans des triades de mois synodiques.

Si la Citée Sainte prend la forme d'une Montagne archaïque dans sa représentation où le Sommet est identifié à partir de l'axe solsticial au Solstice d'hiver, celle-ci a plutôt la forme d'une Svastika qui s'inscrit dans un carré à partir d'une croix gammé.

Nous lui donnons un sens sinistrotrogyre – vers l'Occident – qui est pour nous celui de la précession des équinoxes en assumant l'interpénétration de ces deux représentations dans notre calendrier perpétuel.

Compte tenu des recoupements qu'elles entretiennes entre-elles autour du Samain nous en ajoutons un dixième pour le dixième jours du Janus qui représente les dix qui ont été ajoutés par le calendrier julien aux cinquante que représentent les prémices de l'Anabase.

Ces prémices qui sont aussi celles de la Parentelle où on élève les mânes des ancêtres sur les autels de sa parenté sont aujourd'hui identifiées à la fête de l'Amour et des amoureux trente-six jours avant l'équinoxe du Printemps.

Cette période se retrouve ici entre l'équinoxe du Printemps et la fête du mois de Mai dont le nom est celui du Soleil mais aussi entre le Solstice d'hiver et la Chandeleur dont le nombre est celui des chandelles.

Ce nombre qui est également celui des pâmes et des syncopes qui rythment l'inspire et l'expire du Vivant en-deçà des secondes laisse supposer les déplacements de son référent entre ces différents repères.

Nous avons commencé par là un 14 février et nous n'avons pas éprouvé le besoin d'augmenter le nombre des jours remarquables au-delà de la décade pour rendre compte de ces deux représentations qui sont celles d'un ordre à la fois sidéral et synodique.

Enfin, la décade de l'Axe sur le dixième jour du Janus entérine la subdivision des cent et douze jours de l'apocatastase qui délimite les deux parts (72) et (40) de la catabase et de l'anabase dans les corpus sethiens.

   

    

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire