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Dans le théâtre de la décadence et sur les tréteaux de l'antéchrist, la bête du travestissement est un anagramme pour la parodie de sa monarchie.
L'antéchrist est celui qui précède le Christ dans la prophétie et désigne le pape émérite mais l'opposition à ce vicaire l'identifie à un antipape qui est l'émissaire de son adversaire.
Cette bête est l'incarnation du Reich qui doit durer mille ans mais qui en réalité n'en dure que dix après la deuxième union qui chevauche la première pendant quarante ans.
Les années de ce chevauchement s'étendent entre « 48 » et « 89 » et tu peux calculer à partir du nombre de ces unions (72) le début de sa décade et donc sa fin.
La bête du travestissement n'est pas celle qui dort sous le Khan du Go et sous le mont Kong en gémissant pour qu'on la délivre de ses entraves.
C'est le simulateur dissimulateur dont il est question aux derniers versets de la dernière sourate du Noble Coran, le tentateur perfide et insidieux.
Pour la parousie du Christ si tu n'es pas de ceux qui entendent les premières somations et les gémissements de l'animal attend jusqu'à la quatrième rotation.
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