lundi 11 novembre 2024

Le Maître du jeu

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Retour vers la demeure des lettres

Pour la demeure de la première sphère
parmi les neuf sphères célestes de la vingt-septième lettre :

« Ghayn »

« ... sa lettre à Hitler publiée sous sa signature le 18 septembre 1953 dans l'hebdomadaire gouvernemental cairote « El-Mousawar » alors qu'il était déjà l'une des figures les plus en vue de l'équipe nassérienne au pouvoir au Caire.

« Cette missive au Führer avait été demandée à Sadate au moment où le bruit courait – abondamment répercuté par les agences de presse occidentales – que le dictateur nazi était encore en vie. » [ « On croit même [ en juin 1965 ] que Hitler n'est pas mort. » ]

« ... la présence en Égypte – confirmée en 1967 à Vienne par la Ligue des victimes juives du nazisme – de plusieurs criminels hitlériens recherchés dans maints pays d'Europe et travaillant au sein des organismes anti-israéliens de l'administration égyptienne ... »

Cf. Jean-Pierre Péroncel-Hugoz – Le radeau de Mahomet – Les trois inégalités (1983)

« Lorsqu'en 1953 une rumeur se répandit selon laquelle Hitler avait survécu à l'effondrement du Troisième Reich et se cachait au Brésil, ...

« ... un hebdomadaire égyptien proposa à plusieurs personnalités de rédiger la lettre qu'elles lui adresseraient au cas où il serait encore en vie. »

Cf. Arnaud de la Croix – La religion d'Hitler – Hitler, l'Islam et le monde arabe (2015)

Six écoles du bouddhisme chinois ont été introduites au Japon entre le VIIe et le XIIIe siècles dont la plus ancienne est celle du Kegon de Nara. Les cinq autres sont celles du Tendai, du Shingon, de la Terre Pure, du Zen et de Nichiren.

L'Adhy Bouddha identifié au Corps du Dharma dans le Sambhogakaya a toujours été Vairocana mais l'école de la Terre Pure en vint au XVe siècle à lui préférer Amithâba – l'un des quatre dhyanis bouddhas identifié à la Terre de l'Ouest.

Sa dévotion au Dhyani Bouddha du Couchant identifié à son tour au Corps du Dharma n'est pas sans rappeler l'hagiographie taoïste dans sa dimension eschatologique où Lao Tseu disparaît de notre monde phénoménale en passant par la passe de l'Ouest.

Ce passage pascale sur le pas de notre horizon est une résurrection qui identifie le Passeur du Couchant – le dernier à avoir aperçu Lao Tseu vivant – au Christ et bien sûr au Phœnix ponant qui réapparaît vers l'Orient tous les cinq cents ans.

Cette identification au Phœnix ponant que le mythe celtique identifie au Cerf blanc désigne à son tour Padmasambhava et le Dai-Shonin Nichiren comme les deux bodhisattvas du Bouddha Sakyamuni dans son Nirmanakaya.

Les bodhisattvas du Nirmanakaya s'identifient à ceux du Sambhogakaya qui les précèdent sur la Terre de l'Ouest dans leur conception en particulier à Avalokiteshvara qui personnifie leur compassion et qui comme Valence à Val en Avalon.

Si Maitreya évoque aussi une certaine idée du Bouddha, Valence peut bien détenir ici – en Espagne – la représentation du Graal et là – en France – le Cœur du vicaire du Christ – Pie VI – là où ses caducées – Colomban et François – ont la même fonction.

Sceaux des prophètes et des saints, Témoins de l'apocalypse de Jean, Bouddha et bodhisattvas du Nirmanakaya, caducées du Serpent à plumes de Quetzalcóatl sont les mêmes vecteurs avec une variable dans la succession de leurs échéances.

Les cohortes de l'âge de Fer sont plus longues à la fin des âges de l'Occident que la périodicité originelle de la métaphysique oriental où le Cerf aux cinq cors garde les cinq rayons du Phœnix aux six mille lunaisons (500 x 12).

La raison profonde de cette modification vient d'une corrélation avec l'augmentation des saisons (3 < 4) et leur remonté (4 x 600) à rebours dans l'obscurité du Kali yuga (1/10) de l'hiver au printemps vers l'âge d'Or (4/10) d'un nouveau manvantara (360 x 72).

Les soldes de ce yuga – (250) & (192) – qui s'étendent entre 1780 et 2030 d'une part et entre 1800 et 1992 de l'autre – où le martyr de Pie VI à Valence nous sert encore de repère – introduisent une quarantaine (1992 – 2032) dans les pas de Seth.

C'est le Grand Symbole du Mahamudra de Vajradhara pour ceux qui ont vu la coiffe du Karmapa que les daïkinis lui ont tissé avec la chevelure des anges et pour ceux qui se tiennent avec leurs témoins devant le Seigneur de la Terre.

C'est le Roi du Monde et le Khan du Go qui règne sur l'are du Gon pour ceux qui entendent la langue des oiseaux et le Kong des Monts bleus pour ceux qui ont rejoint la Chambre d'ambre où le Kukul Khan est le Gange de Sri Kalki.

Et c'est lui le Juge terrible et le Roi d'effroi de la Prophétie des papes et de la dixième Centurie qui entre en scène au dernier acte sur les tréteaux de l'antéchrist où se joue le retour de Dieu pour ceux que Mammon n'induit pas en erreur.

Car là où les disciples de Shankara voient ce monde comme une illusion – « Mâyâ » – ceux de Râmânuja le voit aussi comme un jeu – « Lîlâ » – dans une Comédie où le Maître du jeu cache encore dans sa manche un cinquième as. Dieu est le plus rusé des joueurs.

« Si l'on veut se figurer l'image du Bouddha Amida, celle-ci resplendit de la couleur de l'Or et possède 84.000 aspects différents et chacun d'eux émet 84.000 rayons de lumière qui chacun brille dans les dix directions de l'univers ...

« ... en illuminant tous ceux qui proclament le Nom de ce Bouddha. C'est ainsi que ce Bouddha encourage tous les êtres vivants à profiter de la libération qui leur est offerte. »

[ « 84 » fait ici référence à un nombre de bodhisattva (8) et à un nombre de dhyanis bouddha (4) en-deçà de la Centurie d'Or de Vairocana. ]

« Mais quelque soit [ l'aspect sous lequel il se manifeste ] il se manifestera certainement dans le cœur de celui qui proclame son Nom avec foi.

« Il peut alors être accompagné du Bodhisattva Avalokiteçvara – le Bodhisattva de la compassion – et du Bodhisattva Mahâsthâmaprâpta – le Bodhisattva de la Sagesse.

« Le Bouddha Amida se manifeste universellement mais seuls ceux en qui s'est éveillée la foi peuvent l'apercevoir. »

« Nam' » . « Am' » . « Da » . « Bou »

« Hommage du cœur au Bouddha de la Lumière et de la Vie infinie »

« Celui qui peut proclamer le Nom sacré à la fin de sa vie sera accueilli par le Bouddha Amida et les deux Bodhisattva de la compassion et de la sagesse le guideront dans la terre de ce Bouddha où ils naîtront dans la pureté immaculée d'un Lotus blanc. »

Cf. Bukkyô Dendô Kyôkai – L'enseignement du Bouddha – Le Dharma – La libération offerte par le Bouddha – La libération par le pouvoir du Bouddha Amida (1966)

   

    

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