...
Retour vers la demeure des haltes
Pour
la demeure du vingt-troisième jour qui succède à la nuit
au
deuxième mois de la décade :
●
Je
chante d'abord Pallas Athéna
qui garde la ville
Elle fait peur
Avec
Arès
elle se charge de la guerre
des villes détruites sans
recours
des hurlement et des combats
C'est
elle qui vieille sur le peuple
quand il part et quand il revient
Demeure
dans la joie
déesse
et donne-nous
la chance et le bonheur
●
Hymne
homérique (XI) pour Pallas Athéna
qui ne comprend que cinq
vers
mais un autre (XXVIII) en compte dix-huit :
●
Je
chante d'abord Pallas Athéna
glorieuse déesse aux regard de
chouette
Subtile stratège dont le cœur est dur
Vierge pudique qui protège les villes
Place forte tritogène
[ née le troisième jour du mois ]
que
Zeus a enfanté par lui-même
de sa tête redoutable
et
immortelle
●
Nous constatons la place particulière qu'occupe tous les trois
mois
parmi les dix jours remarquables le troisième jour du mois :
-
au deuxième mois du Janus pour le Mercredi de la Chandeleur
[
Imbolc ]
- au troisième mois de la décade pour le Lundi de Bel
[
Beltaine ]
- au sixième mois de la décade pour le cinquième
Dimanche après le Solstice d'été
[ Lammas ]
- au neuvième
mois de la décade pour le Samedi de la Catabase
[ Samain ]
Le
cinquième Dimanche après le Solstice d'été du sixième mois de la
décade
est induit dans ce carré par les trois autres
occurrences
où il apparaît comme le seul jour dominical au troisième jour du mois.
C'est
aussi la place d'une cinquième occurrence
au huitième mois de la
décade pour le Jeudi de l'équinoxe d'Automne
mais cette
coïncidence n'entre pas ici dans le même signifiant.
Nous
avons fixé les jours de la Semaine
en nous fixant sur le Mercredi
du Solstice d'Hiver
qui
est le Jour de leur détermination
et en omettant le jour de
l'équinoxe et son bissextile au Printemps.
Les
dix jours remarquables comprennent les jours tritogènes,
les
solstices et les équinoxes
avec le dixième et le cinquantième
jour du Janus
pour l'Axe de l'apocatastase et les prémices de
l'Anabase
qui sont fixés un Lundi (10) et un Samedi (50).
Dix
jours ont en effet été ajoutés par le Calendrier julien
aux
cinquante premiers jours du Janus
en accord avec les six milles
lunaisons du Phœnix
réparties sur une période de cinq cents
ans.
●
Elle
avait des armes redoutables
en or
étincelantes
Les
Immortels frissonnaient de crainte
en la voyant
Devant
Zeus sous l'égide
elle se tenait debout
brandissant son
javelot
L'olympe
tremblait terriblement
sous le regard puissant de ses yeux de
chouette
La
terre jetait un grand cri effrayant
et la mer
s'agitait
bouillonnant de vagues pourpres
l'écume débordait
Zeus
arrêta le lumineux fils d'Hypérion
et ses chevaux
hennissant
pour un temps
Mais
Pallas Athéna ôta ses armes de guerre
à son grand contentement
Fille
de Zeus
dont mon chant garde le souvenir
réjouie-toi sous
l'égide
que j'entonne un autre chant
●
Nous voyons en distinguant les âges, les générations et les classes d'âge qu'il y a quatre âge et trois générations qui recouvrent les trois premiers sans coïncider puisque toutes les générations ont la même durée – trente ans.
Les âges au contraire ont des durées décroissantes (40 + 30 + 20) où le quatrième (10) apparaît en premier – ce que nous appelons l'enfance.
La classe d'âge se constitue à l'adolescence sur les cinq premières années du premier âge et bien sûr il ne peut y avoir de vie matrimoniale tant que la classe d'âge n'est pas constituée – c'est-à-dire à quinze ans.
Il n'y a donc que dix-huit classes d'âge sur les trois générations qui recouvrent les trois premiers âges telles qu'elles coexistent même quand les anciens périssent dans l'attente de la pérégrination ancestrale vers la réintégration des déités dans la myriade du Vivant.
On peut alors diviser par similitude les années de formation en cinq périodes de cinq ans semblables à ces classes d'âge qui divisent l'enfance en maternel et en primaire – les suivantes étant secondaire, tertiaire et terminale.
Il est évident que ces cinq périodes varient considérablement dans leur besoins et leurs responsabilités sans qu'elles puissent raisonnablement être prolongées au-delà de vingt-cinq ans.
On doit donc les considérés comme une quatrième catégorie qui vient compléter celle de l'âge, de la génération et de la classe d'âge dans l'organisation de l'existence humaine au-delà de la préexistence concupiscente et des stades embryonnaire et fœtale.
Nous donnons à cette préexistence une durée de trois mois ou de douze semaines qui complète dans leur année préliminaire les neuf semaines ou les deux mois du stade embryonnaire et les sept mois du stade fœtale.
La pérégrination des ancêtres et la réintégration des déités dans la myriade du Vivant achèvent cette existence sur des ordres de grandeur qui croissent de la centaine à la myriade en passant par leur millénaire.
Les mondes de l'existence sont donc au nombre de neuf comme celui de leurs commandements.
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