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Retour vers la demeure des haltes
Pour
la demeure du dix-neuvième jour qui succède à la nuit
au
premier mois de la décade :
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Je
chante
Héra
au trône d'or
que Rhéïa a enfanté
Elle est la reine des Immortelles
Rien n'égale sa beauté
Elle
est la sœur et l'épouse
de Zeus
quand il fracasse
Rien
n'égale son renom et son éminence
au sommet de l'Olympe
pour
tous les bienheureux qui la vénèrent et la respectent
autant que
Zeus apprécie la foudre
●
Hymne
(XII) homérique pour Héra
qui ne comprend que cinq vers
●
La
compagnie des paons qui la caractérise
gardait la Pomme de pin
dionysiaque
au centre de l'atrium du domaine de Saint Pierre à
Rome
détruit en 1505 sous le pontificat de Jules II.
« Fructus Jovis Juvabit »
Le
domaine de Saint Pierre devait servir de reliquaire
à la relique
insigne de la Sainte Face du Seigneur,
le Voile de Rome qui
disparut pendant la transformation du domaine
mais qu'on
retrouvera à Manoppello dans les Abruzzes.
« Amator Crucis »
Il
devait rehausser le prestige du Linceul de Turin
sur le siège
épiscopal de l'antipape Félix V
pour le diocèse de Savoie
où
il se trouvait alors à la Sainte Chapelle de Chambéry.
« Esculapii Pharmacum »
Le
transfert vers Turin de la Capitale des états de Savoie
ne se
fera qu'en 1562
sous le pontificat de Pie IV.
« Medium Corpus Pilarum »
Celui
du Linceul
en 1578
sous le pontificat de Grégoire XIII
où
il intègre en 1694
sous celui d'Innocent XII
la
chapelle ducale de la cathédrale de Turin.
« Rastrum in Porta »
●
Avant que le pape Jean-Paul II y introduise son culte luciférien à la Lumière – culte qui chez Ambroise de Milan s'identifie à celui du Christ – le nombre des prières du Rosaire était celui des psaumes dans le Zabur davidien :
Dix par Mystère et trois séries de cinq Mystères Joyeux, Douloureux et Glorieux qu'on récite deux fois par Semaine et à partir desquels on accède à travers les douleurs du Christ à un plan transcendant qui est celui de la Résurrection du Seigneur.
Le Vendredi Saint étant consacré aux Mystères Douloureux et le Jour dominical aux Mystère Glorieux qui succèdent au Sabbat, on distribue les trois premières séries sur les jours suivants en glorifiant également le jour du Milieu – le Mercredi.
Le Jour dominical étant le premier de la Semaine, les oraisons le consacre à l'Unité et celui du Milieu à la Lumière comme l'illustre le signe du Soleil qui se caractérise par un point diacritique au centre de sa périphérie – « ʘ ».
Il n'y a donc pas de place pour des Mystères Lumineux dans ce dispositif et le nombre des prières hebdomadaires n'est pas seulement celui des Psaumes (150) mais aussi celui des jours dans la décade des mois synodiques (300) de l'Année.
Résultat que nous avons pu constater à deux reprises – sur le Mont des armoises et au sommet de l'Escalier Saint du Parc marial – où chaque oraison vaut à elle seule pour celui qui s'y consacre trois cent jours d'indulgence.
Cette disposition n'est pas sans rapport du point de vue des nombres avec celle des générations (30) qu'il faut diviser par deux (15) pour mettre chacune de ses parts en rapport avec l'âge requis par la constitution des classes d'âge (5).
C'est la classe d'âge (5) qui arrache l’adolescent au quatrième âge de l'enfance (10) et qui détermine l'âge requis pour le mariage dans les limites (15) de sa génération – raison pour laquelle nous ne comptons que dix-huit classes à travers les trois premiers âges.
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