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Retour vers la demeure des lettres
Pour
la demeure de la septième sphère
parmi les neuf sphères
célestes de la vingt-septième lettre :
« Ghayn »
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« Jupiter gouverne les hauteurs de l'éther et les trois royaumes du monde.
[ la Sphère sublunaire et ses enfers avec le paradis et le purgatoire ]
La terre est soumise à Auguste.
[ entre l'éther et les trois royaumes ]
Chacun d'eux est le Père et le Souverain de son empire. »
Ovide – Les Métamorphoses – XV 860
« ... mundi regna triformis ... »
et les cinq planètes de la Sphère solaire
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Hermès Trismégiste et le Triple Hermès :
« Le premier d'entre eux est identifié à Hénoch.
[ Idrîs ]
Pythagore fut l'élève du deuxième.
Le troisième à transmis son savoir à Asclépios. »
[ Esculape ]
Ja'far ibn Muḥammad abû Ma'shar
« ... Mercurius Triplex et Termaximus ... »
La Sainte Trinité et la Triade
du Mercure, du Souffre et du Sel
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« Hermès est Trismégiste, c'est-à-dire que le Mercure ou la Pierre philosophale est comparable à la Sainte Trinité : l'Or se sacrifie pour la rédemption de ses frères imparfaits et les « teint » pour la Vie éternelle » [ dans « le mystère de la régénération alchimique ». ]
Cf. Roland Edighoffer – Genèse des Rose-Croix – Les Noces Chymiques de Christian Rose-Croix – Interprétation des Noces chymiques (1982)
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Dans le Septénaire de la Sphère solaire ou de l'Hermès dominical, le Trivium ascendant de la réalisation prophétique redescend de l'abba Râ-Amon à l'abba Râ-Mosis en passant par le Yûsuf de la Jumu'a et les constellations de l'Isâ Râ-El du Ya'qûb ...
Le Quadrivium descendant de la réalisation califale remonte de la Sphère sublunaire d'Adam au Mercure christique de la Pierre philosophale en passant par le Dâwûd de l'Isâ Râ-El du Ya'qûb et les luminaires du Sol et Man.
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« Si le lecteur [ des Noces Chymiques de Christian Rose-Croix ] se souvient que les responsables de la Rose-Croix parlant dans la Fama Fraternitatis des « Rotæ » détenues par la Fraternité avaient précisé qu'elles ne sonnent que les heures ...
« ... et que seule l'horloge divine marque les minutes, il comprend que les événements des Noces chymiques se passent dans le temps apocalyptique et que l'action mystérieuse dont il vient d'être le témoin a un caractère eschatologique. »
Cf. Roland Edighoffer – Genèse des Rose-Croix – Les Noces Chymiques de Christian Rose-Croix – Régénération et hiérogamie (1982)
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Nous savons que le temps apocalyptique vaut trois cent soixante années qui sont comme autant de jours dans chacune d'entre-elles et nous savons que la vie de Christian Rose-Croix s'étend entre 1378 et 1484 – soit 106 ans.
Et nous savons également que l'heure du Kali yuga vaut 108 ans (2.592 / 24 = 108) – nombre favorable particulièrement apprécié par la mystique orientale qui l'emprunte à sa métaphysique.
S'il manquent deux ans à chaque heure, cela en fait quarante-huit à la fin du jour qui correspondent à cette demi-heure (360 / 48) que l'Apocalypse de Jean fait correspondre à la Parousie du Christ à la fin des temps (1.260 / 360).
Cette fin ne prend pas en compte la cohorte (600) que les deux témoins passent devant le Seigneur la Terre ni le solde (192) que le Kali yuga (2.592) impose au nombre de ses cohortes (4 x 600).
Et enfin le temps impartit à chaque témoin (1.260 / 2) ajoutant la génération (30) qui leur correspond, on en retranchera deux (60) pour commencer la quarantaine du fils de l'Homme (40) au terme de laquelle le silence se fait pendant cette demi-heure.
Pourtant le temps (360) qu'initie l'invention du tombeau de Christian cent vingt ans plus tard (1604) aboutit soixante-huit ans avant (1964) si on prend en compte la correction de 1792 sur ce que les Jésuites auraient voulu corriger dès 1673.
On peut y voir les deux générations de nos deux témoins (60) et la demi-heure que l'Apocalypse étend entre sept et huit quand elle évoque un silence qui dure une demi-heure « environ » plutôt que de supposer une erreur entre deux approches différentes.
Nous ne nous serions donc pas trompé en faisant commencer la Parousie dès mars 2024 pour évoquer une tradition dionysiaque qui se renouvelle tous les deux ans avec la Prédication d'un Christ galiléen (32 + 8 = 40).
D'autant que la tradition rosicrucienne se trouvait à l'hombre du Seigneur de la Terre qui retranche ces deux générations (60) au solde (192) du temps imparti (600) arrivant quarante ans plus tôt (1992) au bout d'un cycle (1860 + 132).
C'est le cycle de l'écliptique (360 x 72) où le bouddhisme mahâyâna ajoute à partir de son propre décompte (2.500 + 250) la génération (30) et la Parousie (8) avec la Prédication (2) qu'il doit au Christ.
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