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Retour vers les demeures du Sabbat
Pour
la demeure de la vingtième semaine sidérale
qui vient avec le
Sabbat :
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Il est l’Imam al-Mahdi et l’Imam du Tawḥîd,
le Vivificateur du Dîn et le Plus Grand des Sheykh,
l'héritier du Sceau des prophètes
et celui du Sceau d'une sainteté parfaite, absolue et universelle.
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Il a atteint la Station muḥammadienne dans la Proximité
qui se trouve en-deçà de la Prophétie
où le Sceau des prophètes l'a vu derrière le Sceau des saints muḥammadiens
en raison d'une ressemblance dans le Décret.
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Le Sceau des saints muḥammadiens a dressé devant le Sceau des prophètes
la chaire de tamarix qui se trouve dans la lumière bleue
et sous le manteau de Marie
en signe de leur alliance pour la préservation de la Loi sacré.
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Le Verbe de Dieu et l'Esprit qui en procède
sont apparus dans la Lumière incréée du Messager
sous la bannière de sa Lieutenance.
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La bannière du Verbe de Dieu est la prière de l'Ouverture sur le Sceau des prophètes
qui le prend pour Sceau comme Témoin de la Vérité par la Vérité
et comme Guide sur son Sentier.
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La Vérité du Témoin et la Voie du Guide
procèdent du Vivant qui ne meurt pas dans la Lumière incréée du Messager
qui procède de sa Vérité.
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Credo pour les triades akbarienne et aḥmadienne avec leurs quatre sceaux
parmi les neuf de l'octogone dont l'un est au centre
et l'autre au sommet de la décade
pour le témoignage de l'apocalypse avec les deux bodhisattva de nirmâṇakâya
qui sont comme les huit du sambhogakâya autour de Vajradhara,
détenteur de la hache du Parashurâma et du vajra du Bouddha dans son dharmakâya
parmi les dix avatâra du manvantara.
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« À l'époque [ au cinquième siècle avant Jésus Christ ] où Yahvé illuminait l'esprit d'Esdras du « flambeau de la connaissance », l'historien grec Hérodote se trouvait au Nord de Jérusalem dans la ville portuaire de Tyr ; ...
« ... il était venu voir le temple d'Hercule [ Héraclès ] et rassembler sur les origines de ce [ demi ] dieu une documentation aussi possible que possible. »
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« Il est bien connu qu'Alexandre avait la passion de toutes les richesses du patrimoine culturel de la Grèce.
« C'est ainsi qu'il ne se séparait jamais – dis-ton – d'un exemplaire des œuvres d'Homère qu'il avait arraché à l'empereur de Perse et fait placer dans un coffret d’orfèvrerie précieusement ouvragé. »
« Il utilisait la grande geste homérique comme un guide du protocole et un manuel de civilités pour la vie de cour. Et tout l'empire de lui emboîter le pas. »
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« La légende qui entoure les circonstances dans lesquelles fut traduit le texte sacré est très belle : ...
« ... on raconte que sur les ordres du roi ptolémaïque Philadelphe qui régnait alors à Alexandrie, soixante-douze érudits et docteurs – six descendants pour chacune des douze tribus – furent rassemblés pour entreprendre ce travail.
« On les isola sur un banc de sable du port. Chaque homme dans sa hutte n'avait pour le guider que l'inspiration divine ; comme Esdras autrefois, il ne pouvait compter que sur « la source de l'intelligence » pour illuminer son esprit.
« En soixante-douze jours exactement, les soixante-douze traductions étaient terminées et – miracle ! - elles étaient toutes en tout point identiques.
Ainsi naquit la fameuse version des Septante qui allait avoir une influence toute particulière sur les premiers chrétiens et sur le Nouveau Testament [ cf. Luc X 1 en particulier ] ...
« ... puisqu'elle fut jusqu'au IVe siècle de [ l'ère chrétienne ] le seul texte de l'Ancien Testament utilisé dans l’Église chrétienne. »
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« ... les visions mystiques des grands prophètes étaient rédgées dans une prose tout à fait familière aux membres de certaines sectes religieuses grecques qui d'ailleurs se trouvaient fort intrigués par le mot hébraïque utilisé pour désigner Dieu.
« En effet, les textes sacrés nommaient la personne divine par quatre lettres : ...
« ... « JHVE » que les Grecs appelaient le Tétragramme [ et ] dont la transcription phonétique donnait « Yahvé », mot qui fut déformé par erreur dans la version écrite en anglais élisabéthain en « Jéhovah ».
« Dans la version des Septante, les traducteurs avaient remplacé ces quatre lettres par les deux caractères grecs « IO » ; cette juxtaposition de deux voyelles existait déjà dans le lexique des sectes mystiques et signifiait « le Nom ineffable de l'essence divine ».
« Ainsi par un simple avatar de l'énoncé, certains textes sacrés qui traitaient de sujets pratiques dans un style qui n'avait rien d'abstrait ...
« ... en vinrent à être considérés comme porteurs d'un savoir symbolique ou ésotérique d'origine mystérieuse et dont chaque mot devait être décrypté syllabe par syllabe pour en exprimer le sens caché.
« Dans les grandes villes de lumière, les sectes religieuses des gentils et les communautés juives vivaient au coude à coude ...
« ... et pendant les deux premiers siècles de l'ère chrétienne, leurs fidèles se montrèrent particulièrement réceptifs aux prédications des missionnaires chrétiens. »
Cf. John Romer – La Bible et l'Histoire – Un ouvrage en chantier – Des villes de lumière (2006)
Il s'agit de sectes dionysiaques, « H » et « E » apparaissant ici comme des variations de la muette sous l'apparence de sa consonne parmi les vingt-deux et de sa voyelle parmi les cinq pour les cinquante :
- 22 Majuscules + 22 minuscules = 44 consonnes + 5 voyelles + 1 muette = 50 lettres
- 28 Hiératiques + 28 cursives = 56 consonnes + 3 voyelles + 1 muette = 60 lettres
On ne double pas les voyelles qui apparaissent parmi les consonnes comme signes diacritiques et la muette reste distincte des voyelles quand elle n'est pas accentuée.
Le nombre des lettres est alors en rapport avec le nombre des jours pour le Janus de Romulus (50) et pour celui du calendrier julien (60).
C'est un nombre de jours (60) comme celui des complémentaire (6). Pas un nombre de phases comme celles de la décade des mois de trente jours (600).
Les deux voyelles du Nom ineffable « I » et « O » sont les transpositions des consonnes « Y » et « V » de « Yahvé » puis « J » et « V » pour « Jéhovah » ou « Y » et « W » pour le tétragramme « YHWH » et « D » avec « IEU ».