mercredi 22 mai 2024

L'espace éternel

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Retour vers la demeure des haltes

Pour la demeure du dix-neuvième jour qui succède à la nuit
au premier mois de la décade :

Tout intervalle a ses limites : une origine et une destinée. Même pour un écart résiduel, l'unité de cet intervalle (1) est encore flanquée de l'unité originelle qui la transcende (I) et d'une paire qui l'achève (II) en l'intégrant dans son unité.

Il n'y a donc pas d'étendue en deçà de la décade constituée par cette unité et par ces limites pour la Somme des nombres où l'unité (1) transcende l'octave (8) avec la décade de cette unité (11).

Quand l'unité originelle caractérise sa transcendance ex-nihilo (0) dans un développement temporel sans contingence, l'écart résiduel n'est limité que par une destinée téléologique orientée rétrospectivement vers cet anéantissement.

Cette conception nihiliste de la transcendance introduit un principe d'incertitude dans la contingence qui augmente (+) ou qui diminue (-) l'intervalle de cette origine (I) en fonction de l'orientation prospective ou rétrospective de sa destiné.

Dans l'espace éternel – en-deçà de toute perpétuité – l'intervalle se résorbe dans l'unité de l'Un sans second qui fonde sa réalité subliminale.

Par contre, il y a bien une sorte de temporalité dans une perpétuité sans fin qui se renouvelle d'une façon cyclique et une temporalité formelle délimitée par la contingence au-delà de la conception nihiliste du temps qui nous théorisons.

On peut supposer qu'une telle conception entretien un rapport avec la révolution du cycle.

Éternité

ni début ni fin

I ◄

Perpétuité

un début sans destiné

I ► 0

Temporalité

une fin sans origine

0 ◄ I

Contingence

un début et une fin

I ► II

Carrés magiques
(n x n)

Nombres
N

Constantes
(n³ + n) / 2

Sommes
(N² + N) / 2

Produits des constantes

Qâf

1 x 1

1

4 x 1

1

4

2 x 2

4

2 x 5

10

10

Saturne

3 x 3

9

8 x 15

45

120

Jupiter

4 x 4

16

11 x 34

136

374

Mars

5 x 5

25

12 x 65

325

780

Soleil

6 x 6

36

14 x 111

666

1 554

Vénus

7 x 7

49

16 x 175

1 225

2 800

Mercure

8 x 8

64

18 x 260

2 080

4 680

Lune

9 x 9

81

21 x 369

3 321

7 749

Go

10 x 10

100

22 x 505

5 050

11 110

19 x 19

361

40 x 3 439

65 341

137 560

Le multiplicateur des constantes est la somme
des lignes, des colonnes et des diagonales de leurs carrés
« (n + n) + 2 »

Le multiplicateur de la constante à la base du Qâf
est celle des diagonales (2)
« X »

Le carré de quatre et celui de Jupiter
ont une constante supplémentaire au niveau de l'enceinte centrale
« 10 » & « 34 »

Le carré lunaire présente la même particularité
sur ses deux enceintes centrales
« 369 »

   

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I  I  I  I

I  I  I

I  I

I

   

   

    

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