lundi 5 février 2024

L'angle du quatrième pilier

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Nous avons déjà eux l'occasion d'identifier – contre toute polygamie – les quatre femmes auxquelles l'existence peut nous donner accès – sans que cette proximité sois identifiable à une sexualité – comme étant la Mère, la Sœur, l’Épouse et la Fille.

Il ne s'agit pas ici d'une quantité mais d'une typologie puisqu'il peut y avoir plusieurs sœurs ou plusieurs filles pour un seul homme et qu'il doit pouvoir en être de même pour les conjoints pour peu qu'on les relie à la doctrine des âges.

L'épouse de notre jeunesse (10 < 50) qui est forcement la Mère de nos enfants n'est pas nécessairement celle de notre maturité (50 < 80) ni celle de notre vieillesse (80 < 100) ou de notre enfance et de notre adolescence (+ 5) selon sa classe d'âge.

Ce qui ne signifie pas que nous cesserions d'être concerné par des obligations réciproques en rapport avec les enfants que nous aurions procréé ou avec un bien qui devrait leur être transféré de façon équitable selon leurs nécessités.

Ni qu'on ne puisse vivre dans la fidélité avec la même personne à chaque étape de notre vie en toute connaissance de cause ou rester le cas échéant dans les limites bienséantes de son âge au gré de leurs convenances.

Nous avons aussi considéré – contre tout égalitarisme – que les époux n'avaient pas la même valeur et qu'un d'un point de vue théorique l'épouse (2) vaut le double de l'époux (1) dans l'intérêt supérieur de l'enfant (2 + 1 = 3) et de sa famille (3 + 2 + 1 = 6).

Ce qui est valable pour chaque enfant n'est pas sans conséquence sur l'oubli de la conjugalité dans lequel se trouve l'épouse après sa procréation et sur la place qu'occupe l'époux au centre de sa famille.

Il faut noter à ce propos que l'épouse et l'époux n'ont pas le même Dieu dans leur vénération ou plutôt que leur Dieu n'a pas le même Nom ou le même Attribut : tandis que l'épouse adore « al-Ḥayy » – le Vivant – l'époux vénère « al-Ḥaqq » – la Vérité.

C'est Noms sont ceux de l'Arbre de Vie et de l'Arbre de la Connaissance dans le récit de la Genèse où on les retrouve au Paradis terrestre : il y est recommandé de se nourrir des fruits de l'Arbre de Vie mais de se préserver de l'Arbre de la Connaissance.

C'est-à-dire de regarder comme intangible les principes de cette connaissance qui nous a été donnée avec les lettres et les nombres dont Hénoch après Seth a reçut l'héritage à la septième génération en son temps et depuis d'âge en âge.

« A » est la Mère des lettres et « 1 » est le Père des nombres

L'ange n'est que le fruit des actes qui te transcendent
« Ne t'attache pas aux fruits »
C'est ce que dit l'archange
Au-delà du fruit se trouve la branche
par où la sève lui est donnée.
   

    

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