lundi 25 octobre 2021

Le Point et son Trait d'union

Pour le dix-neuvième cycle du huitième mois de la décade
comprenant la nuit et le jour :

On peut identifier le Pôle au Point diacritique – celui qui est sur la lettre « I » que la numération romaine identifie à la monade bien qu'elle ne soit que la dixième lettre avec la décade et que le graphisme arabe l'identifie à la première ; c'est-à-dire à la lettre « A ».

Grec

Araméen

Arabe

 « Alpha » (1) 

 « Aleph » (1) 

 « Alif » (1) 

 « Iota » (10) 

 « Yod » (10) 

 « Yâ » (10) 

On peut aussi l'identifier à un Axe vertical qui traverse un Trait d'union définit comme un Point en extension qu'on retrouve au centre de la lettre « A » et au sommet de la lettre « T ».

Grec

Araméen

Arabe

 « Tau » (300) 

 « Tav » (400) 

 « Tâ » (400) 

Comme élément central de la décade ce Trait d'union à la valeur numérale de la lettre « H » que le grec identifie à sa voyelle.

Grec

Araméen

Arabe

 « Epsilon » (5) 

 « He » (5) 

 « Hâ » (5) 

Le Trait d'union délimite la face antérieure du carré – celle qui définit le Pôle comme étant l'une de ses limites et fait d'elle une théophanie du l'Unique.

Cette théophanie qualifie le Pôle comme étant à la fois le Premier des deux et les deux à la fois quand Il qualifie le Second pour être le Dernier.

Le Pôle s'exprime alors dans sa décade comme étant à la fois l'Unique (I), le Premier (I) et le Dernier (II) à partir des quatre qui constituent sa base.

 « 10 = 1 + 2 + 3 + 4 » 

La décade est en effet décrite comme étant à la fois la somme des quatre qui organise la quadrature du Cercle et celle des paires qui organise son cadran dans un Pentacle.

 « (1 + 9) + (2 + 8) + (3 + 7) + (4 + 6) + (5 + 5) = 50 » 

Chaque paire produit ici une décade qui exprime dix fois le nombre d'Or dans un pentagramme en coupant chaque droite à deux reprises en deux segments inégaux.

Le rapport entre ces segments est alors semblable à celui qui régit le plus grand d'entre eux avec la droite introduisant une adéquation entre le Tout et ses parties.

Le Tout est ici une expression de la décade qui exprime le Tao avec ses deux phases qui sont comme le Jour et la Nuit.

C'est la raison pour laquelle la somme du nombre Six (21) qui est une expression arithmétique du Cercle exprime aussi pour la dîme les deux phases d'un Tout.

Cette expression apparaît en effet dans toutes les mesures de l'espace et du temps soit sur une base sexagésimale (36) soit en alternance avec le système décimal (60).

Et ce Tao est une expression du Tau (300) qui sert d'Oméga comme dernière lettre d'un alphabet originel que la Tradition primordiale qualifie de solaire ou de syriaque.

Mais l'introduction du Tsadé (90) dans les langues sémitiques et du Zéro (0) dans les nombres imaginaires perturbent notre appréhension de sa poétique.

Nous avons vu que les vingt-quatre heures du jours et les six jours de la semaines entrent dans la même considération en passant par des phases qui en font douze.

Les semaines comprennent alors quatorze phases qu'on franchit par six sur trois semaines qui en font quarante-deux avant d'en faire le tour.

Et ces nombres prennent une autre proportion quand ils s'étendent sur celui des jours ou des ans (30) pour les mois ou les générations (42) – ce qui fait alors sur un an (360) la moitié d'une semaine (1.260).

Les heures du jours sont divisés en phase et par quartier qui sont comme les saisons de l'année en rapport avec un nombre de lunaisons (6.000) qui deviendront des années (600) pour les théophanies de l’Hermès trismégiste dans ses Triades.

Ici aussi, la modification du Janus qui introduit la décade des mois dans le calendrier julien et la transformation du Phénix aux six milles lunaisons pour le Kali yuga éprouvent notre compréhension.

Mais nous voulons croire à la providence qu'introduisent ces écueils à l'heure des marées sur la probabilité des îles et des oasis.

   

    

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