Pour
le neuvième cycle du huitième mois de la décade
comprenant la
nuit et le jour :
« C'est une vielle habitude de l'érudition de donner les références aux vingt-quatre chants de l'Iliade ou de l'Odyssée en employant les vingt-quatre lettres de l'alphabet grec – les majuscules pour l'Iliade, les minuscules pour l'Odyssée.
« Cet usage assez commode pour les auteurs l'est beaucoup moins pour les lecteurs qui peuvent ne pas avoir très présent à l'esprit le numérotage des lettres de l'alphabet.
« Aussi avons-nous renoncé à cette vénérable tradition. »
Cf. Émile Mireaux – Les poèmes homériques et l'Histoire Grecque – Homère de Chios et les routes de l'étain – Le rôle politique des aèdes (1948)
Ce que nous disons des vingt-quatre prophètes du Noble Coran et des vingt-quatre avatars de Vishnu est également ce que nous pouvons dire des chants homériques : ils expriment une Sagesse hénochienne – celle d'Idrîs qu'on identifie à Thôt ou à Mercure.
Pour le Triplex de l'Hermès Trismégiste, le Termaxismus originel exprime son principe générique et le Tricipitus, les précipitations successives de ses trois hypostases qui parcourent les vingt-quatre heures de la nuit et du jour à travers leurs phases.
Pour les avatars de Vishnu, il serait plus juste d'identifier Sri Kalki à Genghis Khan ; mais ses successeurs moghols et ottomans se sont convertis à l'Islam et nous l'identifions avec eux au Sceau des prophètes alors que Sri Budha peut être identifié à Mercure.
Nous ne disons pas la même chose des trente-trois hymnes homériques qui leur succèdent avec la Théogonie d'Hésiode, qui relèvent de la figure dionysiaque du Christ et par conséquent d'une Sagesse éperdue dans le Verbe d'Abraham :
« [
... ] « c'est sur le Drakanon » [ ou ] « c'est dans
Ikaros la venteuse »,
[ ... ] « c'est à Naxos »
[ ou ] « c'est dans les tourbillons du fleuve Alphée »
que
Sémélè devenue grosse t'a enfanté pour Zeus Foudre-Amère »
[
« fils de dieu » ] [ « enfant cousu » ]
« [
... ] Dionysos [ ... ]
avec ta mère Sémélè que l'on appelle
aussi Thyonè. »
« De
Dionysos,
fils de Sémélè la glorieuse,
je ferai mémoire, [
... ] »
« Je
suis Dionysos au cri profond ;
ma mère fut Sémélè la
Cadméenne [ de Thèbes ]
[ qui ] avait fait l'amour avec Zeus. »
« [ ... ] fils de Sémélè aux beaux yeux. »
« [
... ] Dionysos le vibrant [ aux cheveux de lierre, ]
fils lumineux
de Zeus et de Sémélè la magnifique. »
Hymnes homériques pour Dionysos
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