Pour la quarante-troisième semaine sidérale :
La
race jaune correspond aux gens du Levant ; la race rouge, aux
gens du Couchant ; la race blanche, aux régions septentrionales
de l'hémisphère Nord ; la race noire, aux terres environnantes
sur les périphéries méridionales du Sud.
Pour
la descendance biblique d'Abraham, la race blanche qu'on situe en
Europe et qu'on identifie à Jafet devrait correspondre à la
péninsule scandinave et aux terres boréales du septentrion jusqu'au
pôle arctique.
La
race noire qu'on situe en Afrique et qu'on identifie à Cham devrait
correspondre aux indes périphériques et aux royaumes du prêtre
Jean ; tandis que celle de Sem qu'on situe en Asie devrait
correspondre au Levant.
En
réalité, les communautés juives qui s'identifient aux asiates répartissent sur un axe médian les Séfarades et les
Ashkénazes à partir de leur origines sur les deux versants de leurs
peuplements dans la péninsule européenne de l'Eurasie.
La
théorie raciale de la civilisation boréale ne correspond pas
entièrement à la généalogie biblique qui se l'assimile pendant la
période médiévale puisque les trois fils d'Abraham ne peuvent pas
se répartir simplement par rapport à leurs quatre races initiales.
Les
Juifs rouges que Koestler identifie en 1976 aux Khazars en imaginant
une pigmentation cuivrée semblable à celle des Mongols évoquent
plus vraisemblablement l'origine occidentale des Hébreux avant leur
exode à travers la Libye.
Les
Hébreux sont des barbares ibères ou berbères qui n'apparaissent
comme Atlantes qu'à partir de la Mauritanie sur les rives de leur
océan quand ils descendent de l'Atlas vers les rives du Nil avant de
se déplacer vers le Yémen.
Les
Askénazes devraient plutôt apparaître comme des
asiates si on délimite l'Asie par rapport à l'Europe à partir des
Tana'is en les identifiant au Don ou au Phase à l'Est du Danube et
dans le prolongement du Nil par delà la Mare magnum.
Mais
l'origine khazare des sémites de la Volga les assimile plutôt à des
populations chamaniques proches des Bulgares qui dans leur
déplacement vers l'Occident vont donner leur couleur à la Mer Noire
du Pont-Euxin.
La
Mer Rouge doit donc tenir son nom pour la même raison des Hébreux
que la mémoire séfarade qualifie de Juifs de la même couleur quand
elle évoque son origine orientale sur les rivages de l'Asir entre le
Yémen et le Hedjaz.
L'identification
des Khazars aux Juifs ashkénazes est néanmoins inexacte puisque
certains d'entre eux – et non des moindres – se sont convertis au
christianisme dans l'aristocratie de la nation hongroise qui a
converti en partie le Nord de l'Europe.
De
même, les Hébreux de Mauritanie que nous qualifions d'Atlantes ont
exercé une certaine influence en Afrique de l'Ouest sur les Soninkés
de l'empire Mandingue que la tradition du Ouagadou attribue à Igo
Khassé Dingka – leur ancêtre légendaire.
L'axe
médian par rapport auquel le partage des sémites à un sens a
sa base dans la Mer du Nord dite de Cronos devant l'embouchure de
l'Eider qui se trouve au Sud-Ouest de la péninsule du Danemark et à
l'Ouest de la Mer Baltique.
Cet
axe qui devait soutenir le Soleil au sommet d'un arbre ou d'une
colonne avait son reflet terrestre dans les fleuves de Râ – les lits
du Rhône et du Rhin – puis au-delà de la Méditerranée
jusqu'aux sources abyssales du Nil.
Ces
fleuves que nous identifions aux Tana'is originels avant qu'on les déplace vers le
Pont-Euxin devaient tenir le Ciel puisque celui-ci s'effondra
en 1.226 avant Jésus-Christ quand un astéroïde incandescent
s’abîma dans l'Eider.
Les
conséquences de cet effondrement qui eut vraiment lieu 666 ans avant
le début du Kali-yuga furent considérables et dûment consignées
– bien avant Ovide – quelques décennies plus tard dans les annales des
civilisations orientales.
La
citée nautique qui gardait le Septentrion de la civilisation solaire
originelle et qui fut détruite à cette occasion par décret du Ciel
fut sans doute la source d'un grand nombre de mythes qui la qualifie
d’Atlantide ou de ville d'Ys engloutie par les eaux.
Le
Gog de la Magog qu'on situe au Nord des Tana'is désigne
également dans la Sainte Bible cet axe originel du Nord de l'Europe
par où la lumière du Soleil descend jusque dans les abysses du Nil – en deçà du lac Tana.
Ce
faisant, elle partage le monde en deux hémisphères où l'Europe et
l'Afrique séparés par la Mer Méditerranée font face à l'Asie que
ce partage fluvial décrit comme une contrée paradisiaque investie
par les fils de Sem.
Jérusalem
y apparaît comme le centre de ce continent paradisiaque que les
déportations assyriennes et babyloniennes de l'Arabie heureuse vont
déplacer en Palestine, des rivages de la Mer Rouge à l'extrémité
orientale de la Mare magnum.
Le
conflit eschatologique qui se met en rapport avec ce déplacement
dans l'Apocalypse de Saint-Jean et le Noble Coran est celui du Gog et
de la Magog qui désigne le Heartland
germanique et le Rimland
britannique dans notre géographie contemporaine.
Par
Heartland germanique, il faut entendre son déplacement vers
la Prusse orientale à partir de la première guerre mondiale et par
Rimland britannique, les anneaux insulaires du Mondial Socialisme qui s'enchaînent à partir de la seconde.
C'est
à cause de ce déplacement du
Heartland vers la Baltique que nous évoquons le
partage de l'Ukraine jusqu'à la Mer Noire comme celui de la
Palestine en quatre états confédérés comprenant une Judée
séfarade et une Galilée nazaréenne.
La
frontières biélorusse qui suit depuis la Prusse orientale la
dépression du Dniepr sur le flanc occidental de la Russie
délimiterait par le Boristhène une péninsule européenne que le Rhin
et le Danube ne seraient plus délimiter comme à l'époque romaine.
Le
centre originel de cette péninsule s'est lui-même déplacé sur son
territoire à partir de la destruction de son emplacement sommital
jusqu'à l'Oberland de l'Honenberg qui articule un espace
résiduel délimité par une swastika sénestrogyre passant par son
origine.
Fès
au sommet du Maghreb qui est le lieu d'investiture des sceaux de la
sainteté muḥammadienne est
le centre le plus méridional en rapport avec le centre sommital et
avec ce centre résiduel qui indique la probabilité d'un centre
intermédiaire.
Ce
centre intermédiaire qui se trouve entre le centre sommital du
septentrion et le centre méridional de son méridien doit se trouver
en périphérie du centre résiduel qui s'articule vers le Sud jusqu'au
Pyrénées orientale.
Le
centre de l’Empyrée comme son nom pyrénéen l'indique est le
centre caché de la tradition primordiale en rapport avec l'arctique du centre sommital qu'elle signale par l'antre de la
Baleine dont Malaurie a décrit l'Allée orientale des Tchouktches.
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