jeudi 9 septembre 2021

L'anathème

Pour le troisième cycle du huitième mois de la décade
comprenant la nuit et le jour :

Revenons vers l'anathème : l'unité n'est pas dans la diversité. C'est la diversité qui se trouve dans l'unité ; quelque soit l'unité – de la première à la plus grande.

L'unique ne comprend rien si ce n'est Lui-même puisqu'il est l'Un sans second. C'est le Second qui comprend le Premier en constituant la première unité.

La plus grande unité comprend tous les nombres : du Premier jusqu'au Dernier qui exprime une symétrie dans leur unité.

N'importe quel polygramme – à commencer par le premier (21) qui est la somme des six premiers nombres – soustrait par son reflet (12) donne toujours un multiple de Neuf ; sauf si c'est un palindrome où sa soustraction est alors égale à zéro.

Ce résultat ne connaît pas d'exception et il est d'autant plus remarquable que tous ses multiples – à commencé par le premier (18) – sont toujours réductible à Lui-même (9) ; ce qui indique qu'il est au centre de la symétrie.

Il faut donc Le considéré comme l'unique au centre des nombres qui le précède et non comme le Premier d'entre eux qui n'apparaît qu'avec le Second.

On peut dire la même chose du troisième quand il apparaît au centre d'un segment ou du cinquième et du septième au centre d'une croix selon le nombre des dimensions où on le représente : sur une droite, sur un plan ou dans l'espace.

Ce qui indique avec les nombres impairs qu'il existe une dimension supérieure qu'on appelle le temps mais que nous qualifions d'éternel avec une quintessence qui les comprend toutes – la première qui n'en comprend qu'un n'étend pas dimensionnelle.

Le zéro n'est ici qu'un signe diacritique pour cette unité définitive puisqu'il n'existe en réalité aucune position intermédiaire entre plus ou moins Un – ou alors elles sont deux pour les nombres imaginaires et l'unique cesse d'être le Premier.

Au niveau de Sa manifestation dimensionnée, le Tao précède le Principe qui sans Lui ne serait Se manifester. C'est pourquoi, nous pouvons dire que la somme des six premiers nombres (21) précède son reflet (12) dans la soustraction qui les relie au nombre Neuf.

De même, la Décade qui précède le Tao dans ce reflet précède aussi son Principe dans ce polygramme comme les huit trigrammes et c'est Elle qui en manifestant Son unité définitive comprend la diversité qui résulte de Son Principe.

   

    

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