vendredi 8 mars 2024

Dans l'obscurité des symboles

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Retour vers la demeure des haltes

Pour la demeure du troisième jour qui succède à la nuit
au troisième mois de la décade :

Vingt-huit hymnes dans leurs vingt-deux demeures sont en correspondance avec leurs mansions (28) et avec leurs lames (22) dont la Somme (660) est un nombre de phases (600) pour la décade des mois et un nombre de jours (60) pour leur Janus.

Les soixante jours du Janus marchent ensembles comme les phases du « Yi » (2) et comme les Luminaires, comme les deux témoins témoins de l'Apocalypse et comme les Dioscures dans l'obscurité des symboles avec une arcane sans nombre.

Reste les hymnes du Bouclier qui sont les cinq premiers et qu'on peut théoriser comme ceux d'un premier recueil (5) précédant les deux autres – (16) et (32) – ponctués par leurs Dioscures – (17) et (33).

En identifiant ces deux recueils à un nombre de « ættir » (8) runiques accompagnant celui des saisons à travers les âges de la Grande année cosmique, on ne peut qu'identifier ce Bouclier au premier d'entre eux.

Son « ættir » s'achève avec l'hymne pour Arès (8) que Backès situe « tout à fait à part » en lui supposant un caractère orphique qu'il date de l'époque hellénistique avec des considérations astronomiques liées au troisième cercle – celui de la sphère sublunaire.

Le nombre des litanies consacrées à Arès (16) et la troisième « ættir » qui s’achève ici par un hymne pour Hestia (24) – l'aînée des Kronides – suggère néanmoins une datation plus significative qu'on situe généralement au septième siècle avant l'ère chrétienne.

Pour Dionysos, nous avons interverti le premier hymne – malheureusement incomplet – par le septième qui ne comprend que cinquante-neuf vers alors qu'il n'en reste que vingt-un pour le premier :
    

Dionysos

Déméter

Apollon

Hermès

Aphrodite

    

     

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