mercredi 14 février 2024

Le fils de Coronis

...

Retour vers la demeure des haltes

Pour la demeure du douzième jour qui succède à la nuit
au premier mois de la décade :

Je chante d'abord Asklépios
qui guérit les malades

Le fils d'Apollon et de Coronis

Sa mère la divine
dans la plaine de Dôtos
la fille du roi Phlégyas

Il réjouis les hommes
en les soulageant de leurs souffrances

Que ma joie soit avec ce Prince
qui a fait de mon chant
une prière

[ Ce par quoi le chant des poètes se rapproche de moi ]

Hymne homérique pour Asklépios
et pour Coronis
qui ne comprend que cinq vers
(H XVI)
et qu'un chant pour les Dioscures
(H XVII)
sépare d'un hymne pour Hermès
(H XVIII)
qui ne serait que le déplacement d'une dizaine de vers
dans un ensemble qui en comprend cinq cents quatre-vingt
(H II)
et l'origine de son développement.

D'autant que les Dioscures scellent aussi les hymnes homériques
(H XXXIII)
avec le Soleil et la Lune.
(H XXXI) & (H XXXII)

De qui les Dioscures seraient-ils ici la paire
devant l'hymne au rejeton d’Hermès ?
(H XIX)

   

    

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