...
Retour vers la demeure des haltes
Pour
la demeure du douzième jour qui succède à la nuit
au premier
mois de la décade :
Je
chante d'abord Asklépios
qui guérit les malades
Le fils d'Apollon et de Coronis
Sa
mère la divine
dans la plaine de Dôtos
la fille du roi
Phlégyas
Il
réjouis les hommes
en les soulageant de leurs souffrances
Que
ma joie soit avec ce Prince
qui a fait de mon chant
une prière
[ Ce par quoi le chant des poètes se rapproche de moi ]
●
Hymne
homérique pour Asklépios
et pour Coronis
qui ne comprend que
cinq vers
(H XVI)
et qu'un chant pour les Dioscures
(H
XVII)
sépare d'un hymne pour Hermès
(H XVIII)
qui ne
serait que le déplacement d'une dizaine de vers
dans un ensemble
qui en comprend cinq cents quatre-vingt
(H II)
et
l'origine de son développement.
D'autant
que les Dioscures scellent aussi les hymnes homériques
(H
XXXIII)
avec le Soleil et la Lune.
(H XXXI) & (H XXXII)
De
qui les Dioscures seraient-ils ici la paire
devant l'hymne au
rejeton d’Hermès ?
(H XIX)
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