jeudi 29 février 2024

L'énigme de Zohra

...

Retour vers la demeure des haltes

Pour la demeure du dix-septième jour qui succède à la nuit
au deuxième mois de la décade :

Je chante Héraklès

[ Cœur de Lion ]

le fils de Zeus
qu'à enfanté Alcmène

la meilleur de toute celle qui vivent sur terre
dans Thèbes au milieu des cortèges

Elle avait fait l'amour avec Zeus

[ sous de sombres nuées ]

Autrefois il errait
sur une terre sans limite
et sur la mer

suivant les ordres du prince Eurysthée

Il fit beaucoup d'exploits
et subit de nombreuses épreuves

Maintenant il vit heureux
dans le beau palais de l'Olympe enneigé
avec Hébé
qui a de belles chevilles

Réjouis-toi fils de Zeus

Donne-moi la vaillance et la richesse
prince [ de ce monde ]

Hymne homérique pour Héraklès
et pour Alcmène
qui ne comprend que neuf vers
(H XV)

Les douze épreuves d'Héraklès
qui donnent des limites à la Terre
dans ce paysage homérique
sont celles des quatorze runes du futhark le plus ancien
compte-tenu des permutations qu'on observe
pour la dernière (14) avec celle qui la précède (13).

De même que les vingt-quatre runes du futhark ancien
sont celles des vingt-deux lettres hébraïques
compte-tenu des permutations qu'on observe
pour la dernière (24) avec celle qui la précède (23).

On n'y retrouve pas l'indice ultime (33)
qui accompagne les trente-deux runes du nouveau futhark
et qui est aussi celui des hymnes homériques.

Ni les « ættir » qui les rassemblent par groupe de huit
au gré des âges et selon le nombre des saisons :

« 8 < 16 < 24 < 32 »

Les seize runes du futhark le plus récent ne seraient donc qu'un archaïsme à posteriori
toute la progression s'inscrivant dans les douze maisons synodiques :

« (12 + 2) < (22 + 2) < (32 + 1) »

Rappelons que le zéro marque la décade et non une quantité de rien comme origine
où la paire comme limite se résorberait dans son unité.

Tandis que l'indice ultime du nouveau futhark serait toujours une paire
celle des Dioscures pour les hymnes homériques
et quelque soit leur nombre :

« (16 + 1) < (32 + 1)

Le passage de l'un vers l'autre ne peut se concevoir ici
qu'à partir d'un stade intermédiaire théorisé par le futhark ancien
et dont les Luminaires vers la fin des hymnes marquent encore l'étape :

« 30 + 2 + 1 »

Ainsi est résolue l'énigme de Zohra :

« A L B »

« 1 + 30 + 2 »

« 33 »
   

    

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