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Retour vers la demeure des haltes
Pour
la demeure du deuxième jour qui succède à la nuit
au quatrième
mois de la décade :
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- La sphère d'al-Khiḍr se compte en degrés à raison de septante-deux ans par degré
- Le cycle adamantin se compte en lunaisons à raison de douze lunaisons par année
- La matrice arithmétique du Kalpa se compte en unités à raison de 64.800 unités
- Le cycle de la sphère d'al-Khidr est celui de l'écliptique à raison de 25.920 unités (4/10)
- Le cycle de l'écliptique est celui du Manvantara subdivisé en quatre âge décroissant
- Le solde des quatre cohortes du dernier âge est subdivisé en deux parts (120 + 72)
- La seconde part devient ensuite la première de celles qui sont attribuée à Seth (72 + 40)
- La seconde part attribuée à Seth (40) étant celles attribuées à Jésus (32 + 8)
- Les générations (30) des deux témoins de l'Apocalypse se retrouvent avec la seconde des deux parts attribuées à Jésus (8) entre celles d'Hénoch et d’Élie (68) à partir de 1792
- Une correction d'un an (-1) a en effet été appliquée à celles d’Élie à partir de cette date
- Nous sommes donc en présence de trois symboles (+ + +) dont le premier – il est vrai – nous avait jusqu'ici quelque peu échappé.
- Les limites de l'Alpha et de l'Oméga sont données par rapport à l'ère chrétienne
●
Les quatre du cycle adamantin |
Α |
Ω |
|
Al-Khiḍr 0 |
360° x 72 |
- 23 928 |
1992 |
Al-Khiḍr 4 |
144° x 72 |
- 23 928 |
- 13 560 |
Al-Khiḍr 3 |
108° x 72 |
- 13 560 |
- 5 784 |
Al-Khiḍr 2 |
72° x 72 |
- 5 784 |
-.600 |
Al-Khiḍr 1 |
36° x 72 |
-.600 |
1992 |
Adam 0 |
[ 64 800 / 12 ] |
- 3 480 |
1920 |
Jour 1 |
6 x 500
=
3 000 |
- 3 480 |
- 2 980 |
Jour 2 |
- 2 980 |
- 2 480 |
|
Jour 3 |
- 2 480 |
- 1 980 |
|
Jour 4 |
- 1 980 |
- 1 480 |
|
Jour 5 |
- 1 480 |
-980 |
|
Jour 6 |
-.980 |
-.480 |
|
Jour 7 |
4 x 600 = 2 400 |
-.480 |
1920 |
◄ |
-.120 |
-.600 |
1800 |
1 x 600 |
[ 2 400 / 4 ] |
-.600 |
0 |
2 x 600 |
1er témoin |
0 |
600 + 30 |
3 x 600 |
2e témoin |
600 + 30 |
1 200 + 60 |
4 x 600 |
Sceau akbarien |
1 200 |
1 800 |
► |
Sceau aḥmadien |
1800 |
|
Idrîs 0 |
360 |
1244 |
1604 |
Ilyâs 0 |
1313 |
1673 |
|
Idrîs 1 |
360
=
3 x 120 |
1604 |
1724 |
Ilyâs 1 |
1673 |
1793 ◄ 1792 |
|
Idrîs 2 |
1724 |
1844 |
|
Ilyâs 2 |
1793 ◄ 1792 |
1913 ◄ 1912 |
|
Idrîs 3 |
1844 |
1964 |
|
Ilyâs 3 |
1913 ◄ 1912 |
2033 ◄ 2032 |
|
► |
Quṭb az-Zaman |
1920 |
|
Seth 0 |
112 = 72 + 40 |
1920 |
2032 |
Seth 1 |
72 |
1920 |
1992 |
Seth 2 |
40 |
1992 |
2032 |
'Isâ ibn Maryam |
8 |
2024 |
●
« Puisque nous avons déjà indiqué [ dans un article précédent ] l'identité symbolique du triangle inversé et du cœur [ surmonté d'une croix et d'un quatre identifié à la lettre « Rho » du Chrisme ou au carré de Jupiter ] ...
« ... il n'est pas inutile de noter qu'un sens trinitaire peut être également attaché à ce dernier.
« Nous en trouvons la preuve dans une estampe dessinée et gravée par Callot pour une thèse soutenue en 1625 et dont le R. P. Anizan a donné une explication autrefois [ en Novembre 1922 ] dans une revue.
« Au sommet de la composition est figurée le Cœur du Christ contenant trois « Yod », le première lettre du nom de « Jéhovah » en hébreu ; ...
« ... ces trois « Yod » étaient d'ailleurs considérés comme formant par eux-mêmes un nom divin qu'il est assez naturel de regarder comme une expression de la Trinité.
[ « Les trois « Yod » placés dans le Cœur du Christ sont disposés « 2 » et « 1 » de telle façon qu'il correspondent aux trois sommets d'un triangle inversé [ semblables aux loges d'un globe impérial ou à celles d'un cœur. ]
« On peut remarquer que cette même disposition est très fréquente pour les pièces du blason [ comme ] notamment celle des trois fleurs de lys dans les armoiries des rois de France. » ]
« Aujourd'hui – écrivait à ce propos le R. P. Anizan – nous adorons le Cœur de Jésus, Fils du « Père » Éternel ; ...
« ... le Cœur de Jésus uni substantiellement au « Verbe » de Dieu ; ...
« ... le Cœur de Jésus formé par le « Saint-Esprit » dans le sein de la Vierge Marie.
« Comment s'étonner que dès 1625 ait été affirmé le contact auguste du Cœur de Jésus avec la Trinité Sainte ?
« Au XIIe siècle, des théologiens ont vu ce Cœur comme « le Saint des Saint(s) » et comme « l'Arche d'Alliance » [ ici curieusement attribué au « Testament » mais qu'une note identifie en quelque sorte au « Saint Graal ». ]
« Cette vérité ne pouvait se perdre : son expression même emporte l'adhésion de l'Esprit ; ...
« ... elle ne se perdit point.
« Dans un Diurnal paru à Anvers en 1616, on lit cette belle prière :
« Ô
Cœur très doux de Jésus où se trouve tout bien,
organe
de la toujours adorable Trinité,
à
vous je me confie,
en
vous je me remets tout entier. »
« L'organe de la « Très Sainte Trinité », le voilà bien sous nos yeux : ...
« ... c'est le Cœur aux trois « Yod ».
« Et ce Cœur du Christ – organe de la Trinité – notre estampe nous dit d'un mot qu'il est le « principe de l'ordre » : « Prœdestinatio Christi est ordinis origo. »
Cf. René Guénon – Les études sur la franc-maçonnerie et le compagnonnage (1972) :
« Le
Chrisme et le Cœur dans les anciennes marques corporatives » [
et ] « À propos des signes corporatifs et de leur sens
originel » publiées dans « Regnabit » en Novembre
1925 et Février 1926
Y
Encore fallait-il pouvoir attribuer à bon escient la troisième de ces lettres qui reviennent en partie à Jésus et à Jéhovah en l'attribuant à Joseph – le Charpentier qui s'identifie ici dans l'ordre des corporations au Grand Architecte de l'Univers.
De cette attribution découle sans doute le monogramme trilitère du Salut angélique « AVM » relevé par Louis Charbonneau-Lassay à Loudun où le « M » de Marie est surmonté de deux points diacritiques sur ses colonnes – « IVI ».
C'est ce que nous retrouvons à Foy Notre-Dame où l'autel dédié à la Sainte Famille – « Jésus » – « Marie » – « Joseph » – porte les initiales « I.M.I ».
Nous avons déjà eu l'occasion de dire que phonétiquement cette identification du « I » au « J » est problématique puisque le « J » est un « G » adouci par une muette (e) tandis que le « I » est bien la voyelle de sa consonne grecque – « Y ».
Reste que cette problématique à un sens qui rapproche le « ayn » d'Isâ de son « Yod » originel tandis que le « M » médian de Marie à pour ainsi dit pris la place de celui de « Jéhovah » si l'on procède à leur identification par élimination.
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