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Pour
le treizième mois sidéral
qui est en deçà des douze mois
synodiques
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« Dans l'Hadès le Léthé coule à gauche tandis que la source de Mnémosyne se trouve à droite ; mais l'eau fraîche [ de la fontaine de Jouvence ] permet de conserver la mémoire et la conscience. »
Cf. Jean-Pierre Bayard – Le monde souterrain – L'eau souterraine (1961)
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« Selon [ Yates ] la topologie de l'au-delà à laquelle le poète accède [ ... ] après avoir bu l'eau de l'oubli, fait de Dante [ ... ] l'homme de la mémoire. »
Cf. Paul Ricœur – La mémoire, l'histoire, l'oubli – De la mémoire et de la réminiscence – La mémoire exercée : us et abus (2000)
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« Les lieux parcourus sous la conduite de Virgile puis de Béatrice constitue autant de stations pour une mémoire méditante ... »
« ... les eaux du Léthé effacent la mémoire de toutes choses ... »
Cf. Jean-Pierre Bayard – Le monde souterrain – Conclusion (1961)
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« Σ 17 = 153 »
À Delphes l'omphalos était recouvert d'un filet.
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« Mais pourtant ne vaudrait-il pas mieux s'arrêter de préférence au rôle que les Juifs ont pu jouer à l'origine de l'illuminisme bavarois aussi bien que derrière certains « systèmes » de la Haute Maçonnerie ?
[ « ... [ et ] certaines des influences occultes qui contribuèrent à préparer la Révolution. » ]
« Citons en effet cette phrase de l'étude des Cahiers Romains : ...
« Les combinaisons de ce génie – Weishaupt – furent sans doute aidées par des Juifs, héritiers des haines implacables de la vielle Synagogue car le fameux Bernard Lazare [ dans « l'Antisémitisme, son histoire et ses causes » ] n'a pas reculé devant cet aveu : ...
« Il y eut des Juifs autour de Weishaupt ».
[ Ces préventions veulent ici faire pièces à « ... la singulière hantise qui à certains écrivains maçonniques et occultistes fait voir partout l'action des Jésuites dans la Haute Maçonnerie du XVIIIe siècle et dans l'Illuminisme ... » ]
« Parlant de quelques aventuriers maçonniques qui tâchaient de s'imposer aux « poires » des Loges en s'affichant comme mandataires des mystérieux Supérieurs Inconnus – centre fermé de toute la Secte – M. Bord constate que ces aventuriers se vantaient ; ...
« ... d'où il déduit que ces Supérieurs Inconnus [ évoqués par Fabre ] n'existaient pas. »
[ S'ils existent comme le montre « la conviction générale » à laquelle se rallie Guénon et les Cahiers Romains qu'il cite encore, c'est qu'il s'agit des « poires » et de l'ordre chevaleresque dont ils furent pour l'une d'entre-elles le Grand-Maître. ]
« La déduction est bien risquée.
« Si les aventuriers en question se sont présentés faussement comme des « missi dominici » des Supérieurs Inconnus, non seulement rien ne dit que ces derniers n'existaient pas ...
« ... mais plutôt cela montre la conviction générale de l'existence de ces Supérieurs Inconnus car il aurait été bien étrange que ces imposteurs eussent inventé de toutes pièces le mandant outre le mandat.
« Leur calcul de réussite devait évidemment se baser sur cette conviction et celle-ci ne dépose pas contre l'existence des « Superiores Incogniti » évidemment. »
Cf. René Guénon – Les études sur la franc-maçonnerie et le compagnonnage (1972) :
« La Strict Observance et les Supérieurs Inconnus » [ et ] « À propos des Supérieurs Inconnus et de l'Astral » publiées dans « La France antimaçonnique » en Novembre et Décembre 1913 sous la signature du Sphinx
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