mercredi 14 mai 2025

L'antre de la dabba

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Retour vers la demeure des lettres

Pour la demeure de la troisième sphère
parmi les sept sphères célestes de la septième lettre :

« Zây »

« Ainsi était-il écrit que le Christ souffrirait
et ressusciterait d'entre les morts le troisième jour. »

Luc XXIV 46

« Dans le langage des Saintes Écritures, cela s'appelait le signe de Jonas par référence à l'épisode biblique de Jonas qui était resté trois jours dans le ventre de la baleine.

« Jésus s'était servi de cette comparaison pour annoncer sa mort et sa résurrection et le récit symbolique de Jonas sortant de la bouche du monstre marin avait toujours connu une grande fortune dans l'art chrétien ...

« ... parce qu'il permettait à l'artiste de laisser libre cours à son imagination.

« C'était aussi un moyen efficace d'illustrer le mystère de la Résurrection pour les gens simples et ignorants. »

Cf. Barbara Frale – Les Templiers et le suaire du Christ – Contre toutes les hérésies – La « ceinture de sang » et le « signe de Jonas » (2011)

Nous ne manquons ni de simplicité ni d'ignorance mais il n'y a pas plus de trois phases du Vendredi Saint au Dimanche de Pâques – donc un jour et demi.

Le « Triduum pascal » par ailleurs commence dès le Jeudi Saint pour s'étendre de la messe vespérale aux vêpres dominicales.

C'est-à-dire en-deçà et au-delà du passage qui caractérise la mort et la résurrection du Christ entre le crépuscule du lendemain et l'aube du troisième jour.

Quant au montre marin, il s'agit d'une bête dans la vison apocalyptique néotestamentaire et la côte de « babaos » d'après les experts, c'est de la baleine.

Reste à évaluer la longueur des jours que Jonas passe dans le ventre de la « dabba » – cf. Mt XII 38 à 42 et XVI 1 à 4 + Luc XI 29 à 32.

C'est ici la Sagesse pour ceux qui ont de l'intelligence puisse qu'il est bien question de trois jours et trois nuits dans l'évangile de Matthieu cf. Mt XII 40.

Compte le nombre des phases (6) comme si c'était des siècles pour les deux témoins et compte leurs générations (2 x 30) pour le Seigneur de la Terre cf. Ap XI 3 et 4.

Mais pour les quatre sceaux qui viennent avec les deux témoins ne compte pas les générations.

Puis compte encore les siècles pour le Seigneur de la Terre qui doit terrasser la bête.

Et c'est bientôt.

« ... un article [ du Bulletin de la Grande Loge d'Iowa ] est consacré à « l'âge de la Maçonnerie » ou pour mieux dire à montrer que celui-ci est en réalité impossible à déterminer ;

« ... le point de vue des historiens modernes qui ne veulent pas remonter plus loin que la fondation de la Grande Loge d'Angleterre en 1717 est assurément injustifiable même en tenant compte de leur parti pris de ne s'appuyer que sur des documents écrits, ...

« ... car il en existe tout de même d'antérieurs à cette date, si rares soit-ils.

« Il est d'ailleurs à remarquer que ces documents se présentent tous comme des copies d'autres beaucoup plus anciens et que la Maçonnerie y est toujours donnée comme remontant à une antiquité fort reculée ; ...

« ... que l'organisation maçonnique ait été introduite en Angleterre en 926 ou même en 627 comme ils l'affirment, ce fut déjà non comme une nouveauté mais comme une continuation d'organisations préexistantes en Italie et sans doute ailleurs encore ; ...

« ... et ainsi même si certaines formes extérieures se sont forcément modifiées suivant les pays et les époques, on peut dire que la Maçonnerie existe vraiment « from time immemorial »

« ... ou en d'autres termes qu'elle n'a pas de point de départ historiquement assignable. »

Cf. René Guénon – Études sur la Franc-Maçonnerie et le Compagnonnage (1971) – Compte-rendu pour les Études Traditionnelles de mars 1939 d'un article publié par le Bulletin de la Grande Loge d'Iowa en janvier de la même année

    

 

     

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